Réunissant œuvres anciennes, devenues iconiques, et nouvelle production inédite, la galerie Templon propose une nouvelle exposition de David Lachapelle intitulée "Letter to the World" du 3 novembre au 29 décembre 2018.
Présentation de l'exposition
Au sous-sol, l'artiste met en scène une civilisation au bord de l’effondrement, traversée par les excès de la société de consommation, le culte de la célébrité, et les dangers environnementaux. Seismic Shift, Death by Hamburger et Addicted to Diamonds côtoient les portraits d’Andy Warhol, David Bowie ou Michael Jackson. Des natures mortes déjantées répondent aux paysages industriels. Au-delà des interrogations politiques que cet ensemble soulève, se dessine en creux une réflexion sur le rôle de l’artiste et du spectateur : notre aspiration à la beauté et la jeunesse éternelle, le désir complice d’un bien être matérialiste toujours insatisfait.
Au-dessus, David LaChapelle répond à ce monde apocalyptique par un New World fantastique. Guidé par son admiration pour les grands maîtres de l’histoire de l’art, il développe une vision onirique d’un paradis sauvage. Cela fait 10 ans que David LaChapelle s’est installé dans la jungle de Hawai. En quête de spiritualité et d’une vie plus saine, il révèle avec ses nouvelles photographies un aspect inattendu de ses recherches. Ses images sont baignées de couleurs électriques, composées comme des collages. Elles convoquent à la fois les débuts de la photographie, William Blake, Léonard de Vinci ou l’iconographie religieuse.
Pour la première fois, David LaChapelle expose également quelques-unes de ses toutes premières photographies, datées de 83 à 89. Réalisées en processus analogique avec peinture sur négatif, elles manifestent déjà la sensibilité de l’artiste et l’appel de la nature.
Présentation de l'exposition
Au sous-sol, l'artiste met en scène une civilisation au bord de l’effondrement, traversée par les excès de la société de consommation, le culte de la célébrité, et les dangers environnementaux. Seismic Shift, Death by Hamburger et Addicted to Diamonds côtoient les portraits d’Andy Warhol, David Bowie ou Michael Jackson. Des natures mortes déjantées répondent aux paysages industriels. Au-delà des interrogations politiques que cet ensemble soulève, se dessine en creux une réflexion sur le rôle de l’artiste et du spectateur : notre aspiration à la beauté et la jeunesse éternelle, le désir complice d’un bien être matérialiste toujours insatisfait.
Au-dessus, David LaChapelle répond à ce monde apocalyptique par un New World fantastique. Guidé par son admiration pour les grands maîtres de l’histoire de l’art, il développe une vision onirique d’un paradis sauvage. Cela fait 10 ans que David LaChapelle s’est installé dans la jungle de Hawai. En quête de spiritualité et d’une vie plus saine, il révèle avec ses nouvelles photographies un aspect inattendu de ses recherches. Ses images sont baignées de couleurs électriques, composées comme des collages. Elles convoquent à la fois les débuts de la photographie, William Blake, Léonard de Vinci ou l’iconographie religieuse.
Pour la première fois, David LaChapelle expose également quelques-unes de ses toutes premières photographies, datées de 83 à 89. Réalisées en processus analogique avec peinture sur négatif, elles manifestent déjà la sensibilité de l’artiste et l’appel de la nature.
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