Ce vendredi 6 mai, en fin de journée, Amir a dévoilé la scénographie choisie pour son titre "J'ai cherché".
C'est le moment que tout le monde attendait (surtout ici en conférence de presse) suite à l'enthousiasme qu'a suscité la chanson à travers les médias français et le public.
Prestation
Notre avis : L'emballement est un peu retombé en salle de presse, soyons honnêtes, suite à la prestation d'Amir, ce qui est souvent le cas quand on est le grand favori. Il faut dire que le représentant français semble un peu perdu sur scène comme nos amis de Wiwibloggs le soulignent. Pas toujours à l'aise dans sa gestuelle, le grand vide autour de lui amplifie le moindre de ses mouvements, imprécis. Cette première session de trois répétitions d'affilées sert justement à cibler ces moments pour améliorer les effets de caméra et voir le rendu de la chorégraphie. A l'écran, dans la réalisation, il manque des moments de proximité, des plans américains seraient les bienvenus pour admirer notre bogoss franco-israélien, tous les européens n'ont pas une télé de 140cm. Après, le choix des planètes reste discutable, mais c'est subjectif. Nous avions été attendris par la magie qui ressort de la chanson et que le clip met magnifiquement en valeur, nous avons un peu de mal pour le moment à la desceller ici.
Au final, nous avons un Amir élégant, souriant et dynamique qui nous offrira certainement dans une semaine une prestation digne du tube qu'il a entre ses mains après quelques réglages par-ci, par-là. Rappelons que ce qui compte pour le public c'est la chanson et qu'il ne s'agit que des premières répétitions.
On se donne rendez-vous en 2017 en France pour célébrer tous ensemble l'Eurovision ? Yououououou
Conférence de presse
Après sa première répétition sur la scène du Globen que nous avons pu voir depuis le centre de presse, Amir se présente devant les journalistes en conférence de presse, impatients de lui poser quelques questions sur sa prestation. Dans un anglais parfait, il confie qu'après une intense promotion à Paris, il arrive avec une énergie positive à Stockholm.
Il présente son équipe composée de Nathalie André (directrice des divertissements de France 2), Edoardo Grassi (Chef de la délégation française de l'Eurovision) et son chorégraphe. Suite à une question sur son passé de dentiste, il précise s'être trouvé dans la musique. Il était fan de Bruel quand il était jeune et a même pu enregistrer une version en hébreu et l'accompagner sur scène. Un journaliste lui fera remarquer qu'il ne chante pas sur le Yououououou, ce qu'il conteste, et n'hésitera pas à lui demander de mieux regarder sa prestation. Un journaliste russe n'hésite pas à lui préciser qu'il baissait dans les prédictions des bookmakers (ce qui les gênent car ils préfèrent venir à Paris en 2017), question à laquelle il répond toujours avec son sourire habituel en précisant qu'il n'est pas là pour les séduire et qu'il respecte chaque opinion. Il sait très bien qu'il y a des corrections à apporter et qu'ils ont quelques jours encore pour peaufiner la mise en scène. Justement, il explique être à l'origine de l'idée d'utiliser des planètes pour le tableau et que cela lui rappelle son passage dans The Voice où il interprétait "Candle in the wind".
Concernant la polémique sur le refrain en anglais lancée par le secrétaire d’Etat à la Francophonie André Vallini (NDLR : qui n'a dû écouté que 10 secondes de la chanson) , il se défend en indiquant que la chanson est plus moderne que l'année dernière, que les gens voient cela d'un oeil positif et que le message est ainsi compris par l'ensemble des personnes. A un journaliste autrichien dont le pays a choisi une chanson 100% en français, il lui répond qu'il n'y a pas de duel entre eux et qu'il ne veut pas se sentir comme un favori.
L'année dernière, Nathalie André avait été critiquée pour ses propos peu tendre envers l'Eurovision après la défaite française. Celle-ci a eu l'occasion de s'expliquer et d'indiquer que cela n'avait durait que le temps d'un tweet ! Il faut avouer que c'était son premier Eurovision et pour la délégation la pression est grande les jours qui précèdent le jour puis tout retombe d'un coup. Depuis elle a fait un travail sur elle-même et elle a compris que l'Eurovision était une évènement fascinant et passionnant, et qu'il y avait sûrement des choses à améliorer pour être au niveau des autres pays, le choix d'Amir en est une preuve.
Pour conclure, Amir fait une déclaration d'amour entre les peuples, car rappelons que l'Eurovision doit rester un lieu de partage et de bonne humeur.
C'est le moment que tout le monde attendait (surtout ici en conférence de presse) suite à l'enthousiasme qu'a suscité la chanson à travers les médias français et le public.
Prestation
Notre avis : L'emballement est un peu retombé en salle de presse, soyons honnêtes, suite à la prestation d'Amir, ce qui est souvent le cas quand on est le grand favori. Il faut dire que le représentant français semble un peu perdu sur scène comme nos amis de Wiwibloggs le soulignent. Pas toujours à l'aise dans sa gestuelle, le grand vide autour de lui amplifie le moindre de ses mouvements, imprécis. Cette première session de trois répétitions d'affilées sert justement à cibler ces moments pour améliorer les effets de caméra et voir le rendu de la chorégraphie. A l'écran, dans la réalisation, il manque des moments de proximité, des plans américains seraient les bienvenus pour admirer notre bogoss franco-israélien, tous les européens n'ont pas une télé de 140cm. Après, le choix des planètes reste discutable, mais c'est subjectif. Nous avions été attendris par la magie qui ressort de la chanson et que le clip met magnifiquement en valeur, nous avons un peu de mal pour le moment à la desceller ici.
Au final, nous avons un Amir élégant, souriant et dynamique qui nous offrira certainement dans une semaine une prestation digne du tube qu'il a entre ses mains après quelques réglages par-ci, par-là. Rappelons que ce qui compte pour le public c'est la chanson et qu'il ne s'agit que des premières répétitions.
On se donne rendez-vous en 2017 en France pour célébrer tous ensemble l'Eurovision ? Yououououou
Conférence de presse
Après sa première répétition sur la scène du Globen que nous avons pu voir depuis le centre de presse, Amir se présente devant les journalistes en conférence de presse, impatients de lui poser quelques questions sur sa prestation. Dans un anglais parfait, il confie qu'après une intense promotion à Paris, il arrive avec une énergie positive à Stockholm.
Il présente son équipe composée de Nathalie André (directrice des divertissements de France 2), Edoardo Grassi (Chef de la délégation française de l'Eurovision) et son chorégraphe. Suite à une question sur son passé de dentiste, il précise s'être trouvé dans la musique. Il était fan de Bruel quand il était jeune et a même pu enregistrer une version en hébreu et l'accompagner sur scène. Un journaliste lui fera remarquer qu'il ne chante pas sur le Yououououou, ce qu'il conteste, et n'hésitera pas à lui demander de mieux regarder sa prestation. Un journaliste russe n'hésite pas à lui préciser qu'il baissait dans les prédictions des bookmakers (ce qui les gênent car ils préfèrent venir à Paris en 2017), question à laquelle il répond toujours avec son sourire habituel en précisant qu'il n'est pas là pour les séduire et qu'il respecte chaque opinion. Il sait très bien qu'il y a des corrections à apporter et qu'ils ont quelques jours encore pour peaufiner la mise en scène. Justement, il explique être à l'origine de l'idée d'utiliser des planètes pour le tableau et que cela lui rappelle son passage dans The Voice où il interprétait "Candle in the wind".
Concernant la polémique sur le refrain en anglais lancée par le secrétaire d’Etat à la Francophonie André Vallini (NDLR : qui n'a dû écouté que 10 secondes de la chanson) , il se défend en indiquant que la chanson est plus moderne que l'année dernière, que les gens voient cela d'un oeil positif et que le message est ainsi compris par l'ensemble des personnes. A un journaliste autrichien dont le pays a choisi une chanson 100% en français, il lui répond qu'il n'y a pas de duel entre eux et qu'il ne veut pas se sentir comme un favori.
L'année dernière, Nathalie André avait été critiquée pour ses propos peu tendre envers l'Eurovision après la défaite française. Celle-ci a eu l'occasion de s'expliquer et d'indiquer que cela n'avait durait que le temps d'un tweet ! Il faut avouer que c'était son premier Eurovision et pour la délégation la pression est grande les jours qui précèdent le jour puis tout retombe d'un coup. Depuis elle a fait un travail sur elle-même et elle a compris que l'Eurovision était une évènement fascinant et passionnant, et qu'il y avait sûrement des choses à améliorer pour être au niveau des autres pays, le choix d'Amir en est une preuve.
Pour conclure, Amir fait une déclaration d'amour entre les peuples, car rappelons que l'Eurovision doit rester un lieu de partage et de bonne humeur.
Site officiel de Wiwibloggs
Site officiel de My Eurovision Scoreboard
Eurovision.tv (Site officiel de l'Eurovision)
Site de France 2 sur l'Eurovision
Eurovision-quotidien
Eurovision-fr
Tout l'Eurovision sur Wikipedia.fr
Site officiel d'Amir Haddad
Vos réactions / commentaires
D'autres sujets qui peuvent vous intéresser
Les artistes Eurovision en concert à Paris en 2024
Eurovision2024 : Key Moments de la 1ère demi-finale
Eurovision 2024 : nos soirées Euroclub, un rendez-vous incontournable pour les fans d'Eurovision
Eurovision 2024 : Slimane au Turquoise Carpet
Eurovision 2024 : La 2ème demi-finale
Eurovision 2024 : La 1ère demi-finale
Slimane en répétitions pour l'Eurovision
Malmö aux couleurs de l'Eurovision 2024
Eurovision in Concert 2024 à Amsterdam
Eurovision 2024 : les sélections internes