Le OMG Tour d’Usher faisait escale à Bercy le 24 janvier 2011 après s’être arrêté à Lyon (18/01), Marseille (20/01) et Strasbourg (23/01). Le chanteur de R’n’B, acteur et producteur américain ne s’était pas produit en France depuis 7 ans. Alors que le succès de ses derniers albums Raymond Vs Raymond et son complément Versus ne sont pas faramineux, le bogoss est venu retrouver son public français qui semble pourtant bien l’accueillir, un second Bercy pour le 15 février ayant été ajouté début janvier.
Après sa tournée nord-américaine entamée à Seattle le 12 novembre 2010 et qui s’est achevée le 31 décembre dernier à Miami, Usher est sur les routes d’Europe avant de rejoindre l’Australie pour la deuxième quinzaine de mars 2011. Il avait commencé cette tournée sur le vieux continent par Berlin le 12 janvier 2011 mais il a dû quitter précipitamment la scène (au bout de 40 minutes de spectacle) avant de reporter les 2 shows suivants en raison de problèmes respiratoires.
Première partie
20 heures. Un dj s’installe derrière ses platines. Il fait monter la température à coups de "Paris... make some noise" ! Cela fonctionne toujours et un grand rappeur musclé peut fait sa grande entrée sous les applaudissements du public.
Il commence par son titre Frisky. "My name is Tinie Tempah" précise-t-il avant de passer à un medley des tubes "Dynamite" (de Taio Cruz), "Like a G6" (de Far East Movement) et "One" (de Swedish House Mafia). Le rappeur anglais poursuit sa prestation avec l’autre single du trio suédois Miami 2 Ibiza qui l’ont invité à leurs côtés sur ce morceau.
Ensuite, Tinie Tempah joue Invincible son duo avec Kelly Rowland. Il communique avec le public parisien et semble très heureux de jouer dans notre ville. "Merci Paris ! Most beautiful place... One more time, s’il vous plait !"
Sautillant, le jeune black de 22 ans passe à Written in the stars sur lequel chante (en studio) Eric Turner. Ce morceau a très bien fonctionné de l’autre côté de la Manche. Sa prestation s’achève sur un morceau plus minimaliste mais également très bon Pass out.
"Thank U very much Paris" ! dit-il peu de temps avant 20h30 pour remercier le public d’Usher de son accueil. Tinie Tempah devrait être de retour sur cette même scène le 15 février prochain.
Le beau black a sorti son album Disc-Overy et participé au dernier single du boysband anglais JLS.
Le public patiente avant la venue d’Usher et la foule se manifeste avec des cris et le crépitement des photographes lors de l’arrivée de David Guetta et de sa femme. Akon, repérable de loin avec son jogging blanc, les accompagne. Dans l’espace réservé aux VIP, il y avait également Kamel Ouali, M. Pokora et Jean-Roch.
Concert d'Usher
20h55. Quatre danseurs-samouraïs entament une chorégraphie avec de longs battons dans les mains. Leur marche est militaire comme le visuel diffusé sur les quatre écrans du fond. Une plateforme hisse le beau Usher sur la scène…ce qui provoque, bien entendu, les premiers cris d’un public parisien heureux de voir sa star.
La vedette américaine porte une tenue noire et un gros casque, style cosmonaute, sur le premier titre Monstar. Aux cinq jeunes hommes, quatre danseuses viennent s’additionner. Elles quadrillent la bande avec leurs lampes torches alors que les écrans projettent les images d’une ville futuriste.
Un micro attaché à une longue corde, descend au centre de la scène. L’américain s’avance et hurle "Parriiiis !" Usher passe alors à She don't know, un morceau également puisé dans son dernier album.
L’afro-américain reste immobile au centre de la scène sous un petit éclairage. Le beau gosse enlève tranquillement sa veste pour apparaître encore plus sexy dans son marcel agrémenté d’un gilet de GI. La star enchaîne avec le premier gros tube de la soirée : Yeah. Comme dans le clip (avec ses multiples lasers), l’éclairage de la scène est désormais vert. Trois danseurs l’entourent ainsi que plusieurs jeunes femmes pendant que les quatre lettres de Y.E.A.H. s’affichent sur les écrans.
Un petit film constitué d’anciennes images d’Usher est projeté avant que le talentueux danseur ne réapparaisse dans une veste de cuir rouge et une paire de chaussures de la même couleur. Il commence à chanter U remind me en remuant autour d’une très jolie danseuse.
Lascivement, trois autres danseuses se succèdent une à une tandis que le jeune homme drague chacune d’entre elles. Comme dans le clip de ce single de 2001, Usher se prend un vent lorsque l’écran retombe pour le séparer de la belle.
Après quelques cris féminins provenant du public, une belle blonde le rejoint. Le jeune homme l’enlace alors que l’écran se relève. Ils se retrouvent alors tous les deux face au trio de jeunes femmes. Comme un homme pris en flagrant délit, Usher tente de lui expliquer : "Listen... This... is my past... you’re my future !" Une scène "so romantic" comme peut l’aimer son public majoritairement composé de jeunes femmes.
Après un nouveau break, Usher ouvre une mallette puis enfile sa grosse chaîne argentée (avec le U de Usher) autour de son cou pour le titre U don't have to call. Pour ce titre R’n’B sorti en single en 2002, il est entouré de ses amis danseurs.
Des chaussures étincelantes arrivent sur un tapis roulant. Usher les chausse pour un bref hommage à Michael Jackson au son de "Don’t stop ‘til you get enough ?" Il rend ainsi hommage à son idole décédée en 2009. Usher avait d’ailleurs interprété l’émouvant "Gone too soon" lors de ses obsèques en juillet 2009.
Le jeune danseur effectue un joli moonwalk sous les cris de la foule avant de passer au titre qu’il l’a révélé à l’international en 1997. Sur You make me wanna, Usher est entouré de ses danseurs pour une chorégraphie avec des chaises. Celle-ci se termine de façon très sexy de la part des danseurs. Ils montrent en effet leurs abdos pendant qu’Usher retire sa veste et son t-shirt... pour finir par faire crier les filles (et plus discrètement les gays !).
Un nouveau film ponctue le show. Dans un visuel proche de l’atmosphère de la série Nip Tuck, Usher apparaît en tant qu’expert, tout de blanc vêtu. Dans un costume de la même couleur, il fait ensuite son apparition sur la scène de Bercy pour Mars Vs Venus. Dans leurs tenues argentées, 3 danseuses performent avec leurs rubans derrière Usher, chantant parmi la fumée déversée à ses pieds.
Le garçon est à nouveau très sexy lorsqu’il est moulé dans son marcel blanc sur Nice and slow. Il est d’ailleurs très sensuel lors de cette partie du spectacle. Sur ce morceau, le public retrouve plutôt le chanteur qui laisse un peu de côté la danse omniprésente sur les autres titres, beaucoup plus chorégraphiés. Usher est, aussi, plus proche de son public auprès duquel il s’avance pour un petit rap. Alors que les musiciens resteront en fond de scène durant tout le concert, un guitariste s’avance tout près de lui pour terminer cette chanson.
Usher enchaîne directement avec Love'em all avant de passer à Trading places, la partie de son show qui fait un bon buzz sur internet. Dans cette séquence, l’une de ses fans, qu’il faisait monter sur scène à New York, lui a involontairement donné un coup de pied à la tête. Sans mal, bien sûr, car, à Bercy, Usher a choisi une autre jolie jeune fan pour l’enlacer.
La jeune femme a eu la chance de voir ses abdos de plus près, le jeune homme allant jusqu’à remonter son marcel blanc autour du cou. Cette jeune spectatrice se prêtera d’ailleurs très bien à ce jeu de chevauchements lascifs. Le chanteur la raccompagne ensuite dignement en coulisse.
C’est le moment d’un autre petit film qui nous conduit à l’hôtel. Usher est dans un ascenseur avec vue panoramique mais il est en si charmante compagnie d’une blonde qu’il ne profite pas vraiment de la vue plongeante sur la ville.
Pour Love in this club, la scène est rapidement transformée en club avec un éclairage bleu et des cubes roses. Durant cette chanson extraite de "Here I stand", son avant-dernier album sorti en 2008, Usher porte une veste de cuir noir et danse sensuellement parmi ses danseurs mais surtout… autour de ses danseuses.
Les quatre jeunes femmes poursuivent leurs danses lascives sur une grande cage métallique qui vient d’être installée sur la scène. Usher chante Lil freak en dansant parmi elles. Après un coup de feu, ses deux danseurs le rejoignent pour Hot Tottie, autre titre R’n’B qui est extrait de Versus (2010). Le playboy en profite à nouveau pour exhiber son impressionnante musculature. Il remercie l’euphorique gente féminine en lançant, dans la foule, son marcel imbibé de sueur.
La salle est plongée dans le noir quelques instants avant qu’un nuage ne fasse son apparition sur les écrans. Après avoir revêtu un nouveau marcel noir et une chemise blanche en coulisses, Usher revient sur scène parmi la fumée. L’émouvante ballade There’s go my baby est reprise en coeur par ses fans parisiens.
La star américaine s’allonge sur scène parmi la fumée avant de passer à Burn, une autre belle ballade un peu plus ancienne. Ce passage plus statique du show permet à Usher d’être plus à l’aise pour vraiment chanter live. Ses fans l’accompagnent également sur cette bonne chanson. Les plateformes qui servent d’escaliers adaptés à la danse sont, cette fois, éclairés en rouge, tandis que des flammes illustrent sa prestation.
Usher poursuit avec le morceau Bad girl entourés de ses deux danseurs qui portent chapeaux, cravates et costumes noirs. A l’arrière, les jeunes femmes, très sexy tant leurs chemises blanches cachent peu leurs dessous, sont perchées sur des barres de pole dance pour le titre Hey daddy (Daddy’s home). Ce jeune père de famille a deux très jeunes garçons. Il est célibataire depuis un an, suite à son divorce de Tameka Foster en novembre 2009.
Après quelques mots pour son public, Usher propose un medley de quelques uns de ses hits tels que Confessions, My boo, I need a girl et Lovers and friends.
Le chanteur quitte la scène alors que son clavier saisi le micro en interlude d’une petite vidéo dans laquelle on peut voir plusieurs silhouettes d’Usher dansant sur un fond jaune. La vidéo est interrompue lorsque l’artiste est propulsé sur scène sous le bruit des fumigènes.
Usher, qui a mis une veste noire en coulisses, continue la chanson Caught up sous les acclamations de son public, un pistolet doré à la main. Un nouveau cou de feu retentit alors que les lumières de Bercy s’éteignent et qu’Usher retourne en coulisses.
Le showman revient dans une autre tenue blanche et noire. Sur le titre électro More, qui ferait un bon hymne des stades, la prestation est particulièrement énergique et une belle ambiance se fait ressentir dans Bercy. Ses danseurs se défoulent en faisant du break dance. Usher conclue ce morceau, produit par le talentueux RedOne, d’un bref "good night".
Une dernière vidéo est diffusée sur les écrans. Elle met en scène le MC américain Fatman Scoop alors que la troupe danse, perchée sur des cubes, tout en agitant des objets fluorescents sur un son très électro. Usher revient sur la scène de Bercy avec son plus gros tube de ces derniers mois DJ got us fallin' in love.
L’américain termine son show sur ses derniers morceaux au son dancefloor. L’artiste a marqué son retour avec des titres moins R’n’B et avec ce nouveau son dance, apprécié à travers le monde depuis le succès de David Guetta et des Black Eyed Peas.
Bercy est enfin plongé dans le noir alors que les "oooh ooh ooh" retentissent dans le public. Usher s’y met à son tour alors même que les lumières n’ont toujours pas été rallumées.
Devant les écrans lumineux, quatre grands jets de fumée entourent la passerelle qui descend du toit de Bercy. A son bord, Usher, dans sa veste noire et ses lunettes de soleil, chante son tube OMG sur lequel il a travaillé avec Will.i.am. Il rejoint sa troupe de danseuses pour un final explosif avec artifices, étincelles et confettis. Après avoir mis un petit chapeau noir, Usher livre une dernière chorégraphie millimétrée en compagnie de ses 3 danseurs.
A 22h45, le premier show parisien du OMG Tour s’achève et le public semble ravit de ce grand spectacle à l’américaine. Celui-ci contenait tous les tubes d’Usher et une large place a été laissée à ses nouveaux morceaux qui figurent sur "Raymond Vs Raymond" et "Versus". Il manquait simplement le très beau "Papers". Nous avons été emballé par le show d’un des plus célèbres danseurs américains.
Après sa tournée nord-américaine entamée à Seattle le 12 novembre 2010 et qui s’est achevée le 31 décembre dernier à Miami, Usher est sur les routes d’Europe avant de rejoindre l’Australie pour la deuxième quinzaine de mars 2011. Il avait commencé cette tournée sur le vieux continent par Berlin le 12 janvier 2011 mais il a dû quitter précipitamment la scène (au bout de 40 minutes de spectacle) avant de reporter les 2 shows suivants en raison de problèmes respiratoires.
Première partie
Il commence par son titre Frisky. "My name is Tinie Tempah" précise-t-il avant de passer à un medley des tubes "Dynamite" (de Taio Cruz), "Like a G6" (de Far East Movement) et "One" (de Swedish House Mafia). Le rappeur anglais poursuit sa prestation avec l’autre single du trio suédois Miami 2 Ibiza qui l’ont invité à leurs côtés sur ce morceau.
Ensuite, Tinie Tempah joue Invincible son duo avec Kelly Rowland. Il communique avec le public parisien et semble très heureux de jouer dans notre ville. "Merci Paris ! Most beautiful place... One more time, s’il vous plait !"
Sautillant, le jeune black de 22 ans passe à Written in the stars sur lequel chante (en studio) Eric Turner. Ce morceau a très bien fonctionné de l’autre côté de la Manche. Sa prestation s’achève sur un morceau plus minimaliste mais également très bon Pass out.
"Thank U very much Paris" ! dit-il peu de temps avant 20h30 pour remercier le public d’Usher de son accueil. Tinie Tempah devrait être de retour sur cette même scène le 15 février prochain.
Le beau black a sorti son album Disc-Overy et participé au dernier single du boysband anglais JLS.
Le public patiente avant la venue d’Usher et la foule se manifeste avec des cris et le crépitement des photographes lors de l’arrivée de David Guetta et de sa femme. Akon, repérable de loin avec son jogging blanc, les accompagne. Dans l’espace réservé aux VIP, il y avait également Kamel Ouali, M. Pokora et Jean-Roch.
Concert d'Usher
20h55. Quatre danseurs-samouraïs entament une chorégraphie avec de longs battons dans les mains. Leur marche est militaire comme le visuel diffusé sur les quatre écrans du fond. Une plateforme hisse le beau Usher sur la scène…ce qui provoque, bien entendu, les premiers cris d’un public parisien heureux de voir sa star.
La vedette américaine porte une tenue noire et un gros casque, style cosmonaute, sur le premier titre Monstar. Aux cinq jeunes hommes, quatre danseuses viennent s’additionner. Elles quadrillent la bande avec leurs lampes torches alors que les écrans projettent les images d’une ville futuriste.
Un micro attaché à une longue corde, descend au centre de la scène. L’américain s’avance et hurle "Parriiiis !" Usher passe alors à She don't know, un morceau également puisé dans son dernier album.
L’afro-américain reste immobile au centre de la scène sous un petit éclairage. Le beau gosse enlève tranquillement sa veste pour apparaître encore plus sexy dans son marcel agrémenté d’un gilet de GI. La star enchaîne avec le premier gros tube de la soirée : Yeah. Comme dans le clip (avec ses multiples lasers), l’éclairage de la scène est désormais vert. Trois danseurs l’entourent ainsi que plusieurs jeunes femmes pendant que les quatre lettres de Y.E.A.H. s’affichent sur les écrans.
Un petit film constitué d’anciennes images d’Usher est projeté avant que le talentueux danseur ne réapparaisse dans une veste de cuir rouge et une paire de chaussures de la même couleur. Il commence à chanter U remind me en remuant autour d’une très jolie danseuse.
Lascivement, trois autres danseuses se succèdent une à une tandis que le jeune homme drague chacune d’entre elles. Comme dans le clip de ce single de 2001, Usher se prend un vent lorsque l’écran retombe pour le séparer de la belle.
Après quelques cris féminins provenant du public, une belle blonde le rejoint. Le jeune homme l’enlace alors que l’écran se relève. Ils se retrouvent alors tous les deux face au trio de jeunes femmes. Comme un homme pris en flagrant délit, Usher tente de lui expliquer : "Listen... This... is my past... you’re my future !" Une scène "so romantic" comme peut l’aimer son public majoritairement composé de jeunes femmes.
Après un nouveau break, Usher ouvre une mallette puis enfile sa grosse chaîne argentée (avec le U de Usher) autour de son cou pour le titre U don't have to call. Pour ce titre R’n’B sorti en single en 2002, il est entouré de ses amis danseurs.
Des chaussures étincelantes arrivent sur un tapis roulant. Usher les chausse pour un bref hommage à Michael Jackson au son de "Don’t stop ‘til you get enough ?" Il rend ainsi hommage à son idole décédée en 2009. Usher avait d’ailleurs interprété l’émouvant "Gone too soon" lors de ses obsèques en juillet 2009.
Le jeune danseur effectue un joli moonwalk sous les cris de la foule avant de passer au titre qu’il l’a révélé à l’international en 1997. Sur You make me wanna, Usher est entouré de ses danseurs pour une chorégraphie avec des chaises. Celle-ci se termine de façon très sexy de la part des danseurs. Ils montrent en effet leurs abdos pendant qu’Usher retire sa veste et son t-shirt... pour finir par faire crier les filles (et plus discrètement les gays !).
Un nouveau film ponctue le show. Dans un visuel proche de l’atmosphère de la série Nip Tuck, Usher apparaît en tant qu’expert, tout de blanc vêtu. Dans un costume de la même couleur, il fait ensuite son apparition sur la scène de Bercy pour Mars Vs Venus. Dans leurs tenues argentées, 3 danseuses performent avec leurs rubans derrière Usher, chantant parmi la fumée déversée à ses pieds.
Le garçon est à nouveau très sexy lorsqu’il est moulé dans son marcel blanc sur Nice and slow. Il est d’ailleurs très sensuel lors de cette partie du spectacle. Sur ce morceau, le public retrouve plutôt le chanteur qui laisse un peu de côté la danse omniprésente sur les autres titres, beaucoup plus chorégraphiés. Usher est, aussi, plus proche de son public auprès duquel il s’avance pour un petit rap. Alors que les musiciens resteront en fond de scène durant tout le concert, un guitariste s’avance tout près de lui pour terminer cette chanson.
Usher enchaîne directement avec Love'em all avant de passer à Trading places, la partie de son show qui fait un bon buzz sur internet. Dans cette séquence, l’une de ses fans, qu’il faisait monter sur scène à New York, lui a involontairement donné un coup de pied à la tête. Sans mal, bien sûr, car, à Bercy, Usher a choisi une autre jolie jeune fan pour l’enlacer.
La jeune femme a eu la chance de voir ses abdos de plus près, le jeune homme allant jusqu’à remonter son marcel blanc autour du cou. Cette jeune spectatrice se prêtera d’ailleurs très bien à ce jeu de chevauchements lascifs. Le chanteur la raccompagne ensuite dignement en coulisse.
C’est le moment d’un autre petit film qui nous conduit à l’hôtel. Usher est dans un ascenseur avec vue panoramique mais il est en si charmante compagnie d’une blonde qu’il ne profite pas vraiment de la vue plongeante sur la ville.
Pour Love in this club, la scène est rapidement transformée en club avec un éclairage bleu et des cubes roses. Durant cette chanson extraite de "Here I stand", son avant-dernier album sorti en 2008, Usher porte une veste de cuir noir et danse sensuellement parmi ses danseurs mais surtout… autour de ses danseuses.
Les quatre jeunes femmes poursuivent leurs danses lascives sur une grande cage métallique qui vient d’être installée sur la scène. Usher chante Lil freak en dansant parmi elles. Après un coup de feu, ses deux danseurs le rejoignent pour Hot Tottie, autre titre R’n’B qui est extrait de Versus (2010). Le playboy en profite à nouveau pour exhiber son impressionnante musculature. Il remercie l’euphorique gente féminine en lançant, dans la foule, son marcel imbibé de sueur.
La salle est plongée dans le noir quelques instants avant qu’un nuage ne fasse son apparition sur les écrans. Après avoir revêtu un nouveau marcel noir et une chemise blanche en coulisses, Usher revient sur scène parmi la fumée. L’émouvante ballade There’s go my baby est reprise en coeur par ses fans parisiens.
La star américaine s’allonge sur scène parmi la fumée avant de passer à Burn, une autre belle ballade un peu plus ancienne. Ce passage plus statique du show permet à Usher d’être plus à l’aise pour vraiment chanter live. Ses fans l’accompagnent également sur cette bonne chanson. Les plateformes qui servent d’escaliers adaptés à la danse sont, cette fois, éclairés en rouge, tandis que des flammes illustrent sa prestation.
Usher poursuit avec le morceau Bad girl entourés de ses deux danseurs qui portent chapeaux, cravates et costumes noirs. A l’arrière, les jeunes femmes, très sexy tant leurs chemises blanches cachent peu leurs dessous, sont perchées sur des barres de pole dance pour le titre Hey daddy (Daddy’s home). Ce jeune père de famille a deux très jeunes garçons. Il est célibataire depuis un an, suite à son divorce de Tameka Foster en novembre 2009.
Après quelques mots pour son public, Usher propose un medley de quelques uns de ses hits tels que Confessions, My boo, I need a girl et Lovers and friends.
Le chanteur quitte la scène alors que son clavier saisi le micro en interlude d’une petite vidéo dans laquelle on peut voir plusieurs silhouettes d’Usher dansant sur un fond jaune. La vidéo est interrompue lorsque l’artiste est propulsé sur scène sous le bruit des fumigènes.
Usher, qui a mis une veste noire en coulisses, continue la chanson Caught up sous les acclamations de son public, un pistolet doré à la main. Un nouveau cou de feu retentit alors que les lumières de Bercy s’éteignent et qu’Usher retourne en coulisses.
Le showman revient dans une autre tenue blanche et noire. Sur le titre électro More, qui ferait un bon hymne des stades, la prestation est particulièrement énergique et une belle ambiance se fait ressentir dans Bercy. Ses danseurs se défoulent en faisant du break dance. Usher conclue ce morceau, produit par le talentueux RedOne, d’un bref "good night".
Une dernière vidéo est diffusée sur les écrans. Elle met en scène le MC américain Fatman Scoop alors que la troupe danse, perchée sur des cubes, tout en agitant des objets fluorescents sur un son très électro. Usher revient sur la scène de Bercy avec son plus gros tube de ces derniers mois DJ got us fallin' in love.
L’américain termine son show sur ses derniers morceaux au son dancefloor. L’artiste a marqué son retour avec des titres moins R’n’B et avec ce nouveau son dance, apprécié à travers le monde depuis le succès de David Guetta et des Black Eyed Peas.
Bercy est enfin plongé dans le noir alors que les "oooh ooh ooh" retentissent dans le public. Usher s’y met à son tour alors même que les lumières n’ont toujours pas été rallumées.
Devant les écrans lumineux, quatre grands jets de fumée entourent la passerelle qui descend du toit de Bercy. A son bord, Usher, dans sa veste noire et ses lunettes de soleil, chante son tube OMG sur lequel il a travaillé avec Will.i.am. Il rejoint sa troupe de danseuses pour un final explosif avec artifices, étincelles et confettis. Après avoir mis un petit chapeau noir, Usher livre une dernière chorégraphie millimétrée en compagnie de ses 3 danseurs.
A 22h45, le premier show parisien du OMG Tour s’achève et le public semble ravit de ce grand spectacle à l’américaine. Celui-ci contenait tous les tubes d’Usher et une large place a été laissée à ses nouveaux morceaux qui figurent sur "Raymond Vs Raymond" et "Versus". Il manquait simplement le très beau "Papers". Nous avons été emballé par le show d’un des plus célèbres danseurs américains.
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