Après 18 ans d'absence sur scène, George Michael est de retour en France pour six concerts d'une tournée européenne de 47 dates :
29/09 au Zénith de Toulouse,
30/09 au Zénith Omega de Toulon,
2/10 à la halle Tony-Garnier de Lyon,
9 et 10/10 au Palais Omnisports de Paris-Bercy,
13/10 au Galaxie d'Amnéville.
Dans le carré VIP, Dave embrasse Orlando, Yannick Noah côtoie Matt Pokora et Christophe Willem pendant que Lenny Kravitz s'installe.
20h57, on découvre la scène coupée en deux par un écran géant dessinant un long rideau de lumières. Ce dernier s'illumine d'étoiles jusqu'aux pieds des premiers spectateurs de la fosse. A chacune de ces extrémités, les neuf musiciens (4 guitaristes, 3 claviers, 1 batteur et 1 percussionniste) sont positionnés sur trois niveaux latéraux. Au prolongement, deux écrans diffuseront les images du show. Le rideau d'images laisse apparaître une ligne rouge centrale qui s'intensifie alors que nous entendons George Michael chanter une reprise de "Waiting" sans le voir pour l'instant.
L'écran LCD est coloré de rouge lorsque le chanteur né en 1963 apparaît enfin à son public sur les premières notes de "Flawless". Le showman porte une tunique noire et des lunettes de soleil aux verres fumés. Le public frappe des mains dans un Bercy surchauffé. Il dit en français "Tout le monde" alors que le public lève les bras sur son tube "Faslove" illustré par des boules à facette et d'autres figures en strass qui défilent sur l'écran comme un globe, des cerises, une planète et des cœurs.
Un assistant lui porte une chaise pendant l'intro de la douce ballade "Father figure". Derrière l'artiste, ses six choristes (dont deux voix sont masculines) sont alignés devant la diffusion d'un montage de symboles rouges. Sur "Star People" ceux sont des flocons de couleurs qui tombent. L'ambiance est si intense que le chanteur va jusqu'à mettre son doigt sur la bouche pour demander la fin des applaudissements du public. Debout et seul en scène, l'ascendant chypriote grec interprète "The first time ever I saw your face".
On lui réinstalle sa chaise et le chanteur au visage suant revient sur des images de levé de soleil marin pour "Praying for time". Le chanteur britannique qui célèbre ses 25 ans de carrière termine sa ballade seul sur le couché du soleil. Après cette phase d'émotion, l'ambiance reprend rapidement sur le titre uptempo "Too funky" sur lequel George Michael et son public frappe des mains. Ces six choristes et son percussionniste sont alignés derrière lui alors qu'est projeté un beau tableau composé d'images de défilé de tops models extraites du clip de 1992.
Un montage d'images d'enfance et de photos de famille illustre son interprétation de "You have been loved" où une silhouette disparaît à chaque fois pour évoquer un bonheur fané. Ses six choristes et son percussionniste le rejoignent pour un "Everything she wants" endiablé où des diamants tombent de l'écran. Assis sur sa chaise et seulement accompagné d'un piano, George Michael, qui a vendu plus de 85 millions de disques dans le monde, chante une ballade à la mémoire de son oncle gay "My mother had a brother" sur un écran noir. Coloré ensuite de couleur mauve, l'écran affiche de belles images de roses sur la fin de l'hommage.
L'intro de "Shoot the dog" est accompagnée de la diffusion d'une animation représentant les caricatures de George W. Bush et Tony Blair qui dansent avec George Michael. Le chanteur pop britannique tend l'oreille pour écouter les sifflements du public. L'écran s'ouvre pour y extraire un ballon gonflable représentant une caricature de George Bush avec un cigare et un verre d'alcool à la main. Tenu en laisse par l'artiste, un chien couvert d'un drapeau britannique remue la queue et lui suce la bite. Une critique chère à George Michael des politiques américaines et britanniques.
22h, à la fin du titre, un compteur s'affiche au dessus de la silhouette avec l'inscription "Back in 20 minutes". Au bout d'1/4 d'heure de pause, un clip de George Michael est projeté dans lequel apparaissent les grands de ce monde. Ces images reflètent bien la qualité des visuels de cette tournée 25 Live.
Le public commence le décompte à partir des dix secondes restantes. Un son d'orgue raisonne dans le POPB. George Michael réapparaît en costard noir et lunettes sombres.
Son percussionniste et deux guitaristes l'entourent pour "Keep the faith". Le public frappe des mains. La présence d'un saxophoniste sur l'intro de "Spinning the wheel" apporte une ambiance jazzy à ce tableau. Des images de couples (Kennedy, Monroe…) sont ensuite projetées dans un montage qui évoque le développement de la pellicule d'un film au cinéma.
Statique, George Michael interprète seul "Jesus to a child" devant un fond mauve puis des images extraites du clip sont diffusées. Sur le funky "An easier affair", son dernier single en date, le visuel du clip (quadrillage scintillant) est utilisé pour la mise en image du live.
Alors que ceux sont des cercles qui clignotent sur "Amazing", premier single de son cinquième album solo "Patience" sorti en 2004. Sur cette chanson rythmée, le sex-symbol est acclamé dès qu'il apparaît à droite ou à gauche de la scène. Bercy danse et George Michael le chauffe lorsqu'il dit en français "à gauche à droite" et tend son micro pour écouter le public chanter à sa place. L'ambiance 80's du tube Wham ! (duo séparé en 1985) sur "I'm your man" est intensifiée par le visuel disco de la scène. George encourage son public à chanter en lançant en français un "Tout le monde…".
Le bruit des hélices d'hélicoptères raisonne dans un Bercy plongé dans le noir. Le public comprend d'emblée que l'artiste va chanter "Outside", sa chanson écrite en référence à son arrestation pour attentat à la pudeur à Los Angeles en 1998. Des images numériques composent une vue aérienne pour ce titre. L'artiste conclu cette partie du spectacle par un "Merci, à bientôt" et quitte la scène.
La foule le réclame pendant trois longues minutes au son des cris et des applaudissements. Il revient pour l'incontournable "Careless whisper" sur un visuel orange. George paraît heureux sur ce titre malgré ses déboires actuels (arrestations…) et ressort de scène. S'en suivent deux minutes de cris, sifflets et applaudissements.
Le jeune marié à Kenny Goss remonte sur scène illuminée d'un fond rose pour "Freedom". Les images de synthèse forment des rubans de couleurs où des mots tournent tels des publicités sur des néons. Un léger break lorsque George Michael quitte définitivement la scène. Le titre est ensuite repris par les choristes seuls alors que le générique du concert défile comme au cinéma sur ce gigantesque écran. Il est déjà 23h27.
Rendez vous prochainement (13/11) dans les bacs pour le nouveau best-of de George Michael "Twenty-five" avec l'inédit "This is not real love" duo avec Mutya Buena, chanteuse des Sugababes.
Toutes nos photos du show de Goerge Michael à Bercy
29/09 au Zénith de Toulouse,
30/09 au Zénith Omega de Toulon,
2/10 à la halle Tony-Garnier de Lyon,
9 et 10/10 au Palais Omnisports de Paris-Bercy,
13/10 au Galaxie d'Amnéville.
Dans le carré VIP, Dave embrasse Orlando, Yannick Noah côtoie Matt Pokora et Christophe Willem pendant que Lenny Kravitz s'installe.
20h57, on découvre la scène coupée en deux par un écran géant dessinant un long rideau de lumières. Ce dernier s'illumine d'étoiles jusqu'aux pieds des premiers spectateurs de la fosse. A chacune de ces extrémités, les neuf musiciens (4 guitaristes, 3 claviers, 1 batteur et 1 percussionniste) sont positionnés sur trois niveaux latéraux. Au prolongement, deux écrans diffuseront les images du show. Le rideau d'images laisse apparaître une ligne rouge centrale qui s'intensifie alors que nous entendons George Michael chanter une reprise de "Waiting" sans le voir pour l'instant.
L'écran LCD est coloré de rouge lorsque le chanteur né en 1963 apparaît enfin à son public sur les premières notes de "Flawless". Le showman porte une tunique noire et des lunettes de soleil aux verres fumés. Le public frappe des mains dans un Bercy surchauffé. Il dit en français "Tout le monde" alors que le public lève les bras sur son tube "Faslove" illustré par des boules à facette et d'autres figures en strass qui défilent sur l'écran comme un globe, des cerises, une planète et des cœurs.
Un assistant lui porte une chaise pendant l'intro de la douce ballade "Father figure". Derrière l'artiste, ses six choristes (dont deux voix sont masculines) sont alignés devant la diffusion d'un montage de symboles rouges. Sur "Star People" ceux sont des flocons de couleurs qui tombent. L'ambiance est si intense que le chanteur va jusqu'à mettre son doigt sur la bouche pour demander la fin des applaudissements du public. Debout et seul en scène, l'ascendant chypriote grec interprète "The first time ever I saw your face".
On lui réinstalle sa chaise et le chanteur au visage suant revient sur des images de levé de soleil marin pour "Praying for time". Le chanteur britannique qui célèbre ses 25 ans de carrière termine sa ballade seul sur le couché du soleil. Après cette phase d'émotion, l'ambiance reprend rapidement sur le titre uptempo "Too funky" sur lequel George Michael et son public frappe des mains. Ces six choristes et son percussionniste sont alignés derrière lui alors qu'est projeté un beau tableau composé d'images de défilé de tops models extraites du clip de 1992.
Un montage d'images d'enfance et de photos de famille illustre son interprétation de "You have been loved" où une silhouette disparaît à chaque fois pour évoquer un bonheur fané. Ses six choristes et son percussionniste le rejoignent pour un "Everything she wants" endiablé où des diamants tombent de l'écran. Assis sur sa chaise et seulement accompagné d'un piano, George Michael, qui a vendu plus de 85 millions de disques dans le monde, chante une ballade à la mémoire de son oncle gay "My mother had a brother" sur un écran noir. Coloré ensuite de couleur mauve, l'écran affiche de belles images de roses sur la fin de l'hommage.
L'intro de "Shoot the dog" est accompagnée de la diffusion d'une animation représentant les caricatures de George W. Bush et Tony Blair qui dansent avec George Michael. Le chanteur pop britannique tend l'oreille pour écouter les sifflements du public. L'écran s'ouvre pour y extraire un ballon gonflable représentant une caricature de George Bush avec un cigare et un verre d'alcool à la main. Tenu en laisse par l'artiste, un chien couvert d'un drapeau britannique remue la queue et lui suce la bite. Une critique chère à George Michael des politiques américaines et britanniques.
22h, à la fin du titre, un compteur s'affiche au dessus de la silhouette avec l'inscription "Back in 20 minutes". Au bout d'1/4 d'heure de pause, un clip de George Michael est projeté dans lequel apparaissent les grands de ce monde. Ces images reflètent bien la qualité des visuels de cette tournée 25 Live.
Le public commence le décompte à partir des dix secondes restantes. Un son d'orgue raisonne dans le POPB. George Michael réapparaît en costard noir et lunettes sombres.
Son percussionniste et deux guitaristes l'entourent pour "Keep the faith". Le public frappe des mains. La présence d'un saxophoniste sur l'intro de "Spinning the wheel" apporte une ambiance jazzy à ce tableau. Des images de couples (Kennedy, Monroe…) sont ensuite projetées dans un montage qui évoque le développement de la pellicule d'un film au cinéma.
Statique, George Michael interprète seul "Jesus to a child" devant un fond mauve puis des images extraites du clip sont diffusées. Sur le funky "An easier affair", son dernier single en date, le visuel du clip (quadrillage scintillant) est utilisé pour la mise en image du live.
Alors que ceux sont des cercles qui clignotent sur "Amazing", premier single de son cinquième album solo "Patience" sorti en 2004. Sur cette chanson rythmée, le sex-symbol est acclamé dès qu'il apparaît à droite ou à gauche de la scène. Bercy danse et George Michael le chauffe lorsqu'il dit en français "à gauche à droite" et tend son micro pour écouter le public chanter à sa place. L'ambiance 80's du tube Wham ! (duo séparé en 1985) sur "I'm your man" est intensifiée par le visuel disco de la scène. George encourage son public à chanter en lançant en français un "Tout le monde…".
Le bruit des hélices d'hélicoptères raisonne dans un Bercy plongé dans le noir. Le public comprend d'emblée que l'artiste va chanter "Outside", sa chanson écrite en référence à son arrestation pour attentat à la pudeur à Los Angeles en 1998. Des images numériques composent une vue aérienne pour ce titre. L'artiste conclu cette partie du spectacle par un "Merci, à bientôt" et quitte la scène.
La foule le réclame pendant trois longues minutes au son des cris et des applaudissements. Il revient pour l'incontournable "Careless whisper" sur un visuel orange. George paraît heureux sur ce titre malgré ses déboires actuels (arrestations…) et ressort de scène. S'en suivent deux minutes de cris, sifflets et applaudissements.
Le jeune marié à Kenny Goss remonte sur scène illuminée d'un fond rose pour "Freedom". Les images de synthèse forment des rubans de couleurs où des mots tournent tels des publicités sur des néons. Un léger break lorsque George Michael quitte définitivement la scène. Le titre est ensuite repris par les choristes seuls alors que le générique du concert défile comme au cinéma sur ce gigantesque écran. Il est déjà 23h27.
Rendez vous prochainement (13/11) dans les bacs pour le nouveau best-of de George Michael "Twenty-five" avec l'inédit "This is not real love" duo avec Mutya Buena, chanteuse des Sugababes.
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