Après 717 shows donnés au Caesars Palace de Las Vegas entre mars 2003 et décembre 2007, Céline Dion a entrepris une nouvelle tournée mondiale le 14 février 2008 à Johannesburg en Afrique du Sud. PArisGayZine a souhaité voir ce phénomène sur scène à l’occasion du passage du Taking Chances World Tour 2008 à Paris le 21 mai dernier.
La première partie du spectacle nous propose de découvrir sur scène Michael Gregorio. Le jeune homme de 23 ans commence par ses interprétations du "Love today" de Mika (avec le clip), d’un Joe Cocker ("Unchain my heart") suivi d’un Gary Moore. L’imitateur, produit par Laurent Ruquier, poursuit avec Michael Jackson "You are not alone" puis avec le "Yesterday" des Beatles mixé avec Ray Charles. L’"Ave Maria" de Schubert vient ensuite puis il propose au public de faire un karaoké géant à Bercy.
Après les interprétations fidèles aux textes originaux, Michael nous fait découvrir ses versions comiques d’"En apesanteur" de Calogero qui devient "Mon aspirateur" puis reprend Christophe Willem avec "Double jeu". Le protégé de Laurent poursuit avec l’îcone Mylène Farmer avec "Crever" sur lequel il ose un "Moins gay vous serez…".
Pour plaire au public si varié de Céline, il rend hommage à Piaf avec "Mon dieu" et à Jacques Brel avec "Amsterdam". Vêtu d’une chemise blanche accompagnée d’une fine cravate noire comme son jeans, Michael remercie Céline Dion et lui dédie sa version de Jean Jacques Goldman de "Pas toi". L’imitateur présentera son spectacle "J’aurais voulu être un chanteur" au Bataclan en décembre 2008.
Concert de Céline Dion à Bercy
20h50, les écrans descendent du centre de la scène. Un montage composé d’images du clip "Taking chances" est projeté en ouverture. La vidéo représente une voiture qui circule dans un paysage d’éoliennes. Ces images sont retravaillées et mixées avec quelques extraits de cette tournée mondiale.
Sous les applaudissements du public, la canadienne fait son apparition sur la scène centrale en interprètant le I drove all night qu’elle avait repris à Roy Orbinson pour son album "One heart". Dans sa robe rose fushia, Céline monte sur un piano alors que l’ensemble de ses musiciens est positionné aux quatre coins de la scène au côté des choristes. Elle fait le tour de la scène en s’aidant des tapis roulants installés des deux côtés de la scène. Les images colorisées d’éoliennes continuent d’être projetées sur écran.
Comme second titre de la soirée, Céline Dion a choisit J'irai où tu iras qu’elle chante ici en duo avec son bassiste Marc Langis. En plus de jouer de la guitare, il assure ici la partie vocale qu’avait faite Jean-Jacques Goldman lors du "Live à Paris" enregistré au Zénith en octobre 1995.
Les musiciens descendent ensuite grâce au système d’ascenseur qui permet à la scène de se vider. On ne voit que leur tête pendant The power of love qu’elle chantera entièrement sur l’une des deux ailes de la scène.
Céline prend la parole afin de remercier Michael Gregorio qui a assuré la première partie de son concert. Elle nous confie comment elle est contente d’être de retour à Paris entourée de sa famille dans le cadre de cette tournée mondiale. Elle note au passage que plusieurs oiseaux volent à se moment même dans Bercy. La star enchaîne avec Destin une chanson écrite par Jean-Jacques Goldman qui figure également dans l’album "D’eux" sorti en 1995.
La chanteuse revient ensuite à son vingt-cinquième album sorti en novembre 2007 en reprenant Taking chances. Cette chanson composée par Dave Stewart bénéficie d’une légère animation rose projetée sur les écrans. Les spectateurs les plus éloignés peuvent aussi voir des images filmées en direct.
Immobile au centre de la scène, Céline nous livre ensuite une version intimiste de sa ballade S'il n'en restait qu'une (je serais celle-là). Au fur et à mesure de la chanson, elle se tourne des quatre côtés pour que l’ensemble des spectateurs puisse la voir sur au moins un couplet ou un refrain de cet extrait de son album français "D’elles" sorti en mai 2007.
La chanteuse a quitté la scène pour se changer. Les panneaux centraux composent l’écran colorié en rouge. Sur des sonorités de guitares latines et d’un violon, quatre couples composés d’hommes vêtus de noir portent des femmes en tenues rouges. A la fin de cet interlude flamenco, Céline Dion revient sur scène avec une traîne blanche sous laquelle elle porte un corset gris et de longues bottes noires.
La canadienne propose sa chanson r’n’b Eyes on me dans une version différente que celle qui figure sur son dernier album. Les rythmes orientaux du titre concocté par l’australienne Delta Goodrem et le suédois Kristian Lundin sont ici réarrangés dans une couleur latine. Au milieu de la scène, seul un homme est resté pour danser. La star mondiale le rejoint. Il lui retire sa longue traîne blanche et dansera ensuite avec, tel un toréador. Puis sur la seconde partie du titre, la troupe de danseurs fait son retour munis également de leurs capes à faces noires et blanches.
Puis, seule dans sa même robe argentée, Céline livre une version dépouillée de Un garçon pas comme les autres (Ziggy). Sous un éclairage jaune, elle rend hommage à Michel Berger compositeur de ce titre. La jeune femme poursuit avec Dans un autre monde, autre chanson française extraite de son opus "S'il suffisait d'aimer" sorti en 1998. Les danseurs envahissent la scène par divers ascenseurs pour des chorégraphies et autres acrobaties très dynamiques.
La chanteuse qui a déjà vendu 180 millions d’albums dans le monde, vient s’asseoir sur le piano pour chanter All by myself accompagnée de son pianiste. Cette version est d’abord lente mais finit par s’embraser lors de l’arrivée de l’orchestre sur des images enflammées. Céline termine allongée sur le dos durant les applaudissements des milliers de spectateurs.
Le tableau suivant débute par un interlude photoshoot avec de belles images en noir et blanc. Sur l’escalier, la troupe de danseurs se prépare à un défilé de mode. Leurs chorégraphies sont très travaillées pour cet interlude fashion sur un mix de rock et de musique électronique. Un court extrait de Titanic est enchaîné avec la mélodie d’"I'm alive" sur laquelle l’artiste féminine effectue son retour. Telle une disco queen, Céline a revêtu sa tenue noire et grise à paillettes et son pantalon à pattes d’éléphant. I'm alive est ici présenté dans une version tribale différente de celle présente dans l’album "A new day has come" (2002) qui était plutôt dance.
Seule sous un éclairage vert, Céline chante à nouveau un titre français : Je sais pas. Le guitariste joue un solo de guitare appuyé avant d’être rejoint par la chanteuse. Puis, cette dernière vient s’asseoir sur le piano pour "cette chanson qui me remplit d’émotion...". Le public lui renvoi de gros applaudissements.
Un spectateur cri "Céline on t’aime..." qui provoque d’interminables applaudissements en retour de toute la sympathie qu’elle éprouve pour son public. La performeuse parvient à commencer à chanter a cappella My love que lui a écrit Linda Perry pour son dernier album. Elle terminera à genou cette ballade…sous de nouveaux applaudissements.
Puis, elle s’avance sur le ponton situé de notre côté pour S'il suffisait d'aimer extraite de l’album éponyme. La star la décrit comme un hymne à l’amour que lui a composé Jean Jacques Goldman avant de la terminer sur le ponton d’en face.
La diva rejoint le centre de la scène pour être encerclée par les écrans en forme de rideaux. La mélodie du carillon d’"Alone" retentit dans Bercy alors que nous l’apercevons toujours derrière ces tableaux. La cage projette des images de neige et d’autres éléments naturels avant la remontée des rideaux et des musiciens.
Accompagnée de toute sa troupe, la québécoise nous surprend en reprenant We will rock you. Cette version donne de l’énergie au public qui la laisse finalement parler de son goût pour le groupe Queen. De nouveau seule, elle interprète alors The show must go on accompagnée de la diffusion d’extraits de clips ou de live des rockers avant de disparaître par le milieu de la scène.
Alors qu’elle est partie changer de tenue, sa bande vêtue de noir et blanc assure le spectacle avec un medley soul où l’on retrouve du James Brown ("Sex machine"), "Soul man", "Lady Marmalade" de Moulin rouge (sans le fameux "Voulez-vous coucher avec moi..." Pour ne pas choquer son public familial ? ). Dans ce passage du concert, la voix soul du choriste masculin Barnev Valsaint avec qui elle chante "I’m your angel" (au lieu de R.Kelly sur disque) sur certaines dates de sa tournée, est bien mise en avant.
Puis, Céline Dion apparaît sur scène en tenue blanche. Telle une meneuse de revue entourée de ses boys, la jeune femme joue avec son micro sur les titres I got the feelin et la reprise d’It's a man's world où elle tourne sur un plateau en forme de chapeau doré entourée de ses quatre danseurs. Puis, elle interprète Love can move mountains, un titre qui figurait sur le deuxième album anglophone de la chanteuse avant de conclure par un "...bonsoir ! ". Bercy est plongé dans le noir quelques instants.
Sur quelques percussions et dans une courte robe dorée, Céline Dion revient nous faire un numéro de majorette et quelques claquettes pour River deep mountain high une reprise d'Ike & Tina Turner qui figurait sur son album "Falling into you" sorti en 1996.
Nouvelle sortie de scène avant que nous n’entendions sa voix chantonner Titanic sur des images du film au succès planétaire : Titanic. Puis, Céline revient sur scène pour le final dans une robe de soirée tout en noire avec des plumes alors que le public est éclairé comme un phare surplombé d’étoiles. Chacun des quatre coins de la scène se sont surélevés pour former des plateaux où ont été disposé des bougies pour une séquence émotion sur My heart will go on, son tube issu de la BO du film Titanic.
Le public se lève et applaudi à tout rompre alors que la chanteuse reprend la parole pour annoncer qu’elle "ne peux pas vous quitter sans vous dire que je vous aime" et surtout sans chanter Pour que tu m'aimes encore le vent dans la traîne de sa robe.
Elle nous salue puis remercie ses musiciens et danseurs avant de quitter la scène par l’ascenseur central. Un Merci s’inscrit sur écran. La star internationale quitte la salle sous le regard des spectateurs et sous les flashs des nombreux appareils photo. Ces images sont relayées sur les écrans alors que les lumières se rallument pour clore ce spectacle.
Pour ceux qui n’auraient pas eu la chance d’assister à l’un de ces 6 shows à Bercy, Céline Dion se produira le 5 juillet prochain à Nice (Palais des Sports) et le 7 juillet à Aras dans le cadre de cette tournée d’une centaine de dates qu’elle fera jusqu'en février 2009.
La première partie du spectacle nous propose de découvrir sur scène Michael Gregorio. Le jeune homme de 23 ans commence par ses interprétations du "Love today" de Mika (avec le clip), d’un Joe Cocker ("Unchain my heart") suivi d’un Gary Moore. L’imitateur, produit par Laurent Ruquier, poursuit avec Michael Jackson "You are not alone" puis avec le "Yesterday" des Beatles mixé avec Ray Charles. L’"Ave Maria" de Schubert vient ensuite puis il propose au public de faire un karaoké géant à Bercy.
Après les interprétations fidèles aux textes originaux, Michael nous fait découvrir ses versions comiques d’"En apesanteur" de Calogero qui devient "Mon aspirateur" puis reprend Christophe Willem avec "Double jeu". Le protégé de Laurent poursuit avec l’îcone Mylène Farmer avec "Crever" sur lequel il ose un "Moins gay vous serez…".
Pour plaire au public si varié de Céline, il rend hommage à Piaf avec "Mon dieu" et à Jacques Brel avec "Amsterdam". Vêtu d’une chemise blanche accompagnée d’une fine cravate noire comme son jeans, Michael remercie Céline Dion et lui dédie sa version de Jean Jacques Goldman de "Pas toi". L’imitateur présentera son spectacle "J’aurais voulu être un chanteur" au Bataclan en décembre 2008.
Concert de Céline Dion à Bercy
Sous les applaudissements du public, la canadienne fait son apparition sur la scène centrale en interprètant le I drove all night qu’elle avait repris à Roy Orbinson pour son album "One heart". Dans sa robe rose fushia, Céline monte sur un piano alors que l’ensemble de ses musiciens est positionné aux quatre coins de la scène au côté des choristes. Elle fait le tour de la scène en s’aidant des tapis roulants installés des deux côtés de la scène. Les images colorisées d’éoliennes continuent d’être projetées sur écran.
Comme second titre de la soirée, Céline Dion a choisit J'irai où tu iras qu’elle chante ici en duo avec son bassiste Marc Langis. En plus de jouer de la guitare, il assure ici la partie vocale qu’avait faite Jean-Jacques Goldman lors du "Live à Paris" enregistré au Zénith en octobre 1995.
Céline prend la parole afin de remercier Michael Gregorio qui a assuré la première partie de son concert. Elle nous confie comment elle est contente d’être de retour à Paris entourée de sa famille dans le cadre de cette tournée mondiale. Elle note au passage que plusieurs oiseaux volent à se moment même dans Bercy. La star enchaîne avec Destin une chanson écrite par Jean-Jacques Goldman qui figure également dans l’album "D’eux" sorti en 1995.
La chanteuse revient ensuite à son vingt-cinquième album sorti en novembre 2007 en reprenant Taking chances. Cette chanson composée par Dave Stewart bénéficie d’une légère animation rose projetée sur les écrans. Les spectateurs les plus éloignés peuvent aussi voir des images filmées en direct.
Immobile au centre de la scène, Céline nous livre ensuite une version intimiste de sa ballade S'il n'en restait qu'une (je serais celle-là). Au fur et à mesure de la chanson, elle se tourne des quatre côtés pour que l’ensemble des spectateurs puisse la voir sur au moins un couplet ou un refrain de cet extrait de son album français "D’elles" sorti en mai 2007.
La chanteuse a quitté la scène pour se changer. Les panneaux centraux composent l’écran colorié en rouge. Sur des sonorités de guitares latines et d’un violon, quatre couples composés d’hommes vêtus de noir portent des femmes en tenues rouges. A la fin de cet interlude flamenco, Céline Dion revient sur scène avec une traîne blanche sous laquelle elle porte un corset gris et de longues bottes noires.
Puis, seule dans sa même robe argentée, Céline livre une version dépouillée de Un garçon pas comme les autres (Ziggy). Sous un éclairage jaune, elle rend hommage à Michel Berger compositeur de ce titre. La jeune femme poursuit avec Dans un autre monde, autre chanson française extraite de son opus "S'il suffisait d'aimer" sorti en 1998. Les danseurs envahissent la scène par divers ascenseurs pour des chorégraphies et autres acrobaties très dynamiques.
La chanteuse qui a déjà vendu 180 millions d’albums dans le monde, vient s’asseoir sur le piano pour chanter All by myself accompagnée de son pianiste. Cette version est d’abord lente mais finit par s’embraser lors de l’arrivée de l’orchestre sur des images enflammées. Céline termine allongée sur le dos durant les applaudissements des milliers de spectateurs.
Le tableau suivant débute par un interlude photoshoot avec de belles images en noir et blanc. Sur l’escalier, la troupe de danseurs se prépare à un défilé de mode. Leurs chorégraphies sont très travaillées pour cet interlude fashion sur un mix de rock et de musique électronique. Un court extrait de Titanic est enchaîné avec la mélodie d’"I'm alive" sur laquelle l’artiste féminine effectue son retour. Telle une disco queen, Céline a revêtu sa tenue noire et grise à paillettes et son pantalon à pattes d’éléphant. I'm alive est ici présenté dans une version tribale différente de celle présente dans l’album "A new day has come" (2002) qui était plutôt dance.
Seule sous un éclairage vert, Céline chante à nouveau un titre français : Je sais pas. Le guitariste joue un solo de guitare appuyé avant d’être rejoint par la chanteuse. Puis, cette dernière vient s’asseoir sur le piano pour "cette chanson qui me remplit d’émotion...". Le public lui renvoi de gros applaudissements.
Un spectateur cri "Céline on t’aime..." qui provoque d’interminables applaudissements en retour de toute la sympathie qu’elle éprouve pour son public. La performeuse parvient à commencer à chanter a cappella My love que lui a écrit Linda Perry pour son dernier album. Elle terminera à genou cette ballade…sous de nouveaux applaudissements.
Puis, elle s’avance sur le ponton situé de notre côté pour S'il suffisait d'aimer extraite de l’album éponyme. La star la décrit comme un hymne à l’amour que lui a composé Jean Jacques Goldman avant de la terminer sur le ponton d’en face.
La diva rejoint le centre de la scène pour être encerclée par les écrans en forme de rideaux. La mélodie du carillon d’"Alone" retentit dans Bercy alors que nous l’apercevons toujours derrière ces tableaux. La cage projette des images de neige et d’autres éléments naturels avant la remontée des rideaux et des musiciens.
Accompagnée de toute sa troupe, la québécoise nous surprend en reprenant We will rock you. Cette version donne de l’énergie au public qui la laisse finalement parler de son goût pour le groupe Queen. De nouveau seule, elle interprète alors The show must go on accompagnée de la diffusion d’extraits de clips ou de live des rockers avant de disparaître par le milieu de la scène.
Alors qu’elle est partie changer de tenue, sa bande vêtue de noir et blanc assure le spectacle avec un medley soul où l’on retrouve du James Brown ("Sex machine"), "Soul man", "Lady Marmalade" de Moulin rouge (sans le fameux "Voulez-vous coucher avec moi..." Pour ne pas choquer son public familial ? ). Dans ce passage du concert, la voix soul du choriste masculin Barnev Valsaint avec qui elle chante "I’m your angel" (au lieu de R.Kelly sur disque) sur certaines dates de sa tournée, est bien mise en avant.
Puis, Céline Dion apparaît sur scène en tenue blanche. Telle une meneuse de revue entourée de ses boys, la jeune femme joue avec son micro sur les titres I got the feelin et la reprise d’It's a man's world où elle tourne sur un plateau en forme de chapeau doré entourée de ses quatre danseurs. Puis, elle interprète Love can move mountains, un titre qui figurait sur le deuxième album anglophone de la chanteuse avant de conclure par un "...bonsoir ! ". Bercy est plongé dans le noir quelques instants.
Sur quelques percussions et dans une courte robe dorée, Céline Dion revient nous faire un numéro de majorette et quelques claquettes pour River deep mountain high une reprise d'Ike & Tina Turner qui figurait sur son album "Falling into you" sorti en 1996.
Nouvelle sortie de scène avant que nous n’entendions sa voix chantonner Titanic sur des images du film au succès planétaire : Titanic. Puis, Céline revient sur scène pour le final dans une robe de soirée tout en noire avec des plumes alors que le public est éclairé comme un phare surplombé d’étoiles. Chacun des quatre coins de la scène se sont surélevés pour former des plateaux où ont été disposé des bougies pour une séquence émotion sur My heart will go on, son tube issu de la BO du film Titanic.
Le public se lève et applaudi à tout rompre alors que la chanteuse reprend la parole pour annoncer qu’elle "ne peux pas vous quitter sans vous dire que je vous aime" et surtout sans chanter Pour que tu m'aimes encore le vent dans la traîne de sa robe.
Pour ceux qui n’auraient pas eu la chance d’assister à l’un de ces 6 shows à Bercy, Céline Dion se produira le 5 juillet prochain à Nice (Palais des Sports) et le 7 juillet à Aras dans le cadre de cette tournée d’une centaine de dates qu’elle fera jusqu'en février 2009.
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