Après son carton dans les classements français en 2008 avec Tired of being lonely son duo avec Nadiya, nous avons pensé que c’était le bon moment d’aller écouter Enrique Iglesias sur scène.
A l’occasion de la sortie de son Greatest hits, le chanteur était de passage au Zénith de Paris le 4 mai 2009 avec son spectacle Enrique Live !
Après quelques dates à Mexico fin mars, Enrique a débuté sa tournée européenne à Minsk en Bielorussie le 24 avril. Elle se terminera à Belgrade le 22 mai avant de revenir à Monte Carlo en juillet prochain.
Résumé des premières parties :
19h30 Un MC déboule sur scène et demande "Are you ready to party with Enrique ?" Yeah… !!!
La chanteuse néerlandaise Esmee Denters assure la première partie du concert. La protégée de Justin Timberlake salue le public parisien avant d’interpréter 2 chansons ("Admit it" et "Love dealer"), accompagnée de ses 2 danseuses.
Après quelques mots en français, elle enchaîne avec "Just can’t have it", puis, filme une petite vidéo afin de la poster sur le site YouTube où elle a été découverte, ainsi que sur Twitter.
Toujours avec sa robe bleue qui recouvre son collant noir, Esmée termine sa prestation sur son titre "Outta here" qui est également celui de son album. "Merci beaucoup Paris… Enjoy the show tonight…"
La seconde artiste invitée à chauffer le Zénith est Alesha Dixon. A 19h55, ses 2 danseurs entament une chorégraphie hip-hop sur un extrait de "One night stand". Ce titre est l’un des tubes du groupe Mis-Teeq qui comptait Alesha parmi ses membres.
L’anglaise apparaît dans une tenue noire agrémentée d’un t-shirt rose au motif représentant un visage féminin. Elle commence sa prestation par "Scandalous", un des plus gros tubes de son groupe, qui est bien accueilli.
Alesha Dixon enchaîne avec "Cinderella shoe" sur lequel ses beaux danseurs nous montrent tour à tour leurs abdominaux. La jeune femme nous livre ensuite son nouveau single en France, la magnifique ballade "Breathe slow".
Fidèle à ses racines urbaines, Alesha présente ensuite "Knock down" extrait ragga de son premier album solo (2006). Toujours accompagnée de ses danseurs, Alesha poursuit avec "Let’s get excited", le troisième extrait de son album "The Alesha Show".
Elle termine par "The boy does nothing", son premier vrai hit en France que le public reprend en choeur.
20h15, les lumières s’éteignent trop vite alors que l’un de ses danseurs ne résiste pas à l’envie de retirer son t-shirt sous les cris du public.
20h40, le concert débute. De chaque côté de la scène, deux musiciens font vibrer leurs guitares alors qu’Enrique Iglesias est propulsé par un ascenseur au centre de la scène du Zénith.
Sous les cris des fans, essentiellement féminines, le chanteur ouvre la soirée avec Can you hear me, la chanson officielle de l’Euro 2008. Elle est ici proposée dans une version plus rock que celle du single. Enrique porte simplement un pull et une paire de jeans noirs derrière son micro à pied. Sa casquette lui cache les yeux.
Les musiciens enchaînent directement sur l’intro de Bailamos, son tube extrait de la bande originale du film Wild Wild West. Jouée dans une version plus rock, cette chanson est complètement différente de celle qui figure sur son premier album en anglais (1999). Le jeune public participe d’ailleurs beaucoup sur ce titre plein d’énergie.
Enrique Iglesias entonne ensuite le magnifique Love to see you cry. Cependant, il ne nous propose pas la version française "Tes larmes sont mes baisers" produite spécialement pour notre territoire gaulois. En effet, Enrique ne parle que quelques mots de français. Il lance quand même un "Bonsoir Paris" sous les applaudissements des spectateurs.
Dans un Zénith presque complet, une guitare latine joue l’intro du titre suivant. Il s’agit de Rhythm divine, son second tube en anglais, très proche de Bailamos, qui subit d’ailleurs le même traitement pop rock. Sous un éclairage jaune, Enrique avance doucement sur la passerelle et se lance enfin sur l’avancée centrale, à l’extrémité de laquelle nous sommes positionnés.
Les musiciens n’hésitent pas à faire hurler leurs instruments pour clôturer le titre. Comme entre chaque morceau, le chanteur se positionne face à son batteur tournant ainsi brièvement le dos au public.
Le Zénith est plongé dans le noir afin que les techniciens installent les sièges sur le devant de la scène. On devine que cette séquence sera plus intimiste. La troupe composée des cinq musiciens et de la choriste s’assoie devant le rideau.
Enrique Iglesias s’installe ensuite, à genoux, sur le petit sofa et lance au public "Merci beaucoup d’êtrechhhh ici ce soir". Sous les rires d’un public admiratif, le fils de Julio Iglesias prend le temps de régler son oreillette.
Le chanteur entame cette partie du concert avec Ring my bells, le titre issu de son dernier album studio Insomniac qui aurait aussi mérité de sortir en single. Nous l’avions découvert lorsqu’il était en écoute sur son site internet. Ici, la nouvelle version est encore plus intimiste, proche d’une ballade ; une atmosphère particulière qu’on pourrait qualifier d’insomniaque justement. Le public participe beaucoup, surtout lorsqu’il entend un "Everybody hands in the air !"
Avant d’entamer le titre suivant, Enrique se réhydrate puis lance un surprenant "How many men are here tonight ?" Le jeune latino, qui remporte un tel succès auprès de la gente féminine, choisi ce moment pour s’adresser aux garçons venus accompagner leurs copines... et, évidemment, aux gays !
[Petite aparté : même si la rumeur de son homosexualité coure toujours, Enrique partage la vie d’Anna Kurnikova depuis 2002. C’est à cette date qu’il a rencontré la tenniswoman sur le tournage de son clip Escape].
Les hommes sont clairement moins nombreux mais il demande à la sécurité de faire monter un mec sur scène. Marco, un spectateur venant d’Italie, s’assied à ses côtés. Puis, Enrique aperçoit un "guy with the yellow shirt. One french ? Yes. Matthieu de Paris ! Cocorico. Do you wanna drink ?" Il leur sert un verre avant de trinquer et de lancer "Paris santé !"
Les jeunes hommes se prennent en photos avec la star qui chante Don't you forget about me. Sur la fin de cette belle ballade, il laisse chanter l’italien. Intimidé, Marco n’ira pas loin sur l’avancée centrale.
Après une petite pause boisson, le chanteur latino le plus connu dans le monde après Ricky Martin, reprend Purple rain de Prince. Ce titre des années 80 est ici bien réarrangé à la guitare. Les images sont diffusées en live derrière la scène et sur les écrans latéraux qui projettent également des plans d’Enrique et de ses musiciens.
La salle est ensuite plongée dans le noir sur des riffs de guitare. Le beau gosse enlève son pull pour finir dans un simple t-shirt blanc agrémenté d’un chapelet. Le morceau suivant est une nouvelle version pop rock de son hit Not in love qu’il chante seul, ici, assurant même les parties les plus aïgues. Les belles lumières jaunes et rouges composent la mise en scène de cet extrait de son album 7 (2003), interprété à l’époque en duo avec la chanteuse Kelis.
Après une longue nappe musicale jouée à nouveau par des guitares sous une lumière bleue, Enrique poursuit son concert en nous livrant une belle interprétation de sa chanson Be with you.
Puis, dans un décor composé de multiples spots bleus, il chante Tired of being sorry à nouveau en solo. Nadiya n’est pas là ce soir pour interpréter la version française, "Laisse le destin l'emporter", sûrement son plus gros tube en France à ce jour.
Le bel hidalgo, qui vit désormais à Miami, termine cette chanson sur la petite scène face à nous.
Puis, derrière la scène principale, l’écran géant représente un jeu vidéo rouge et blanc des années 80, rappelant les débuts de l’informatique grand public.
Enrique simule une partie de ping pong sur l’intro de Do you know ? (The ping pong song),titre de circonstance. Il rejoint la scène principale où son image est projetée en live sur le grand écran et sur chacun des cotés de la scène. Le morceau prend fin sous une pluie de confettis blancs.
Le Zénith est plongé dans le noir pendant plusieurs minutes. Les gradins tremblent sous les pieds des fans. La lumière blanche illumine alors la scène sous les "Ooooh oooh ooh" que reprend le public parisien qui reconnaît son dernier tube Takin' back my love.
Cette fois, Enrique nous interprète la version française réalisée avec Tyssem, une jeune française qui avait déjà signé la VF de "The way I are" de Timbaland.
La chanteuse, qui porte une robe bleue, souffre d’un problème de micro au début de sa prestation. En vrai latino lover, Enrique la met à l’aise sur la seconde partie du titre avant de raccompagner, à la fin du titre, la jeune femme (du mauvais côté de la scène).
Pour info, à Rotterdam, Edmée Denters (première partie de cette soirée) a chanté avec Enrique cet extrait de la compilation "Greatest hits". Sur disque, au niveau mondial, le morceau est un duo avec Ciara. Pour l’Allemagne, Enrique a proposé à Sarah Connor d’enregistrer une nouvelle version anglaise du titre. Enrique est d’ailleurs un adepte des duos qu’il a déjà signé avec Whitney Houston, Lionel Richie, Kelis, Sean Garrett et Nadiya.
Mais reprenons le déroulé de cette soirée. Seul sur scène, le ravissant jeune homme lance un "Bonsoir Paris" avant d’énumérer toutes les fois où il est venu dans la capitale française. La première fois lorsqu’il était plus jeune, la seconde fois où il a trouvé que c’était la plus belle ville, la troisième fois, etc, "merci, merci, merci !"
Puis, l’artiste interroge son public "Hablas espagnol ?" afin de choisir une jeune fille parmi les premiers rangs. Mais, les agents de sécurité se trompent de fille et Enrique Iglesias insiste pour que ce soit celle qu'il a choisi. L’heureuse élue monte sur scène. Enrique demande à Sabrina si elle parle espagnol, la jeune fille de 17 ans est intimidée. Les images retransmettent cette scène, sur écran géant, où le beau garçon chante sa ballade Hero tout en enlaçant Sabrina longuement.
C’est une pratique courante pour lui qui choisi une fille du public à chaque concert. A la G-A-Y de Londres en juin 2007, Enrique Iglesias avait choisi pour la circonstance un jeune homme, nouvelle preuve gay friendly.
Au Zénith, cette scène s’achève par la sortie d’Enrique et de la jeune Sabrina par une trappe qui les conduit sous la scène. Au dessus, les guitares retentissent alors que la star est rapidement rééjectée sur la scène.
Le chanteur d’origine espagnole interprète son titre Escape et ramasse les fleurs et les peluches jetées sur scène par ses fans. Ensuite, un foulard bleu à la main, c’est à genoux qu’Enrique Iglesias, se met en signe de reconnaissance de ce bon moment partagé avec son public français. Le public, les mains levées, est très heureux d’avoir vécu cette soirée alors que le rideau retombe déjà à 22 heures.
Ce fût un bon live d’Enrique Iglesias qui a chanté tous ses plus grands tubes. C’est d’ailleurs plutôt un concert qu’un show. Il n’y avait qu’une seule choriste, pas de chorégraphie, ni de danseurs(es). Le décor était simplement constitué d’un éclairage. Le public aurait apprécié la présence de Nadiya. Néanmoins, il était entouré de bons musiciens qui ont bien réadapté ses tubes dans des versions plus pop rock.
A l’occasion de la sortie de son Greatest hits, le chanteur était de passage au Zénith de Paris le 4 mai 2009 avec son spectacle Enrique Live !
Après quelques dates à Mexico fin mars, Enrique a débuté sa tournée européenne à Minsk en Bielorussie le 24 avril. Elle se terminera à Belgrade le 22 mai avant de revenir à Monte Carlo en juillet prochain.
Résumé des premières parties :
19h30 Un MC déboule sur scène et demande "Are you ready to party with Enrique ?" Yeah… !!!
La chanteuse néerlandaise Esmee Denters assure la première partie du concert. La protégée de Justin Timberlake salue le public parisien avant d’interpréter 2 chansons ("Admit it" et "Love dealer"), accompagnée de ses 2 danseuses.
Après quelques mots en français, elle enchaîne avec "Just can’t have it", puis, filme une petite vidéo afin de la poster sur le site YouTube où elle a été découverte, ainsi que sur Twitter.
Toujours avec sa robe bleue qui recouvre son collant noir, Esmée termine sa prestation sur son titre "Outta here" qui est également celui de son album. "Merci beaucoup Paris… Enjoy the show tonight…"
www.esmeeworld.com
La seconde artiste invitée à chauffer le Zénith est Alesha Dixon. A 19h55, ses 2 danseurs entament une chorégraphie hip-hop sur un extrait de "One night stand". Ce titre est l’un des tubes du groupe Mis-Teeq qui comptait Alesha parmi ses membres.
L’anglaise apparaît dans une tenue noire agrémentée d’un t-shirt rose au motif représentant un visage féminin. Elle commence sa prestation par "Scandalous", un des plus gros tubes de son groupe, qui est bien accueilli.
Alesha Dixon enchaîne avec "Cinderella shoe" sur lequel ses beaux danseurs nous montrent tour à tour leurs abdominaux. La jeune femme nous livre ensuite son nouveau single en France, la magnifique ballade "Breathe slow".
Fidèle à ses racines urbaines, Alesha présente ensuite "Knock down" extrait ragga de son premier album solo (2006). Toujours accompagnée de ses danseurs, Alesha poursuit avec "Let’s get excited", le troisième extrait de son album "The Alesha Show".
Elle termine par "The boy does nothing", son premier vrai hit en France que le public reprend en choeur.
20h15, les lumières s’éteignent trop vite alors que l’un de ses danseurs ne résiste pas à l’envie de retirer son t-shirt sous les cris du public.
www.aleshadixon.co.uk
Résumé du live d'Enrique Iglesias :
20h40, le concert débute. De chaque côté de la scène, deux musiciens font vibrer leurs guitares alors qu’Enrique Iglesias est propulsé par un ascenseur au centre de la scène du Zénith.
Sous les cris des fans, essentiellement féminines, le chanteur ouvre la soirée avec Can you hear me, la chanson officielle de l’Euro 2008. Elle est ici proposée dans une version plus rock que celle du single. Enrique porte simplement un pull et une paire de jeans noirs derrière son micro à pied. Sa casquette lui cache les yeux.
Les musiciens enchaînent directement sur l’intro de Bailamos, son tube extrait de la bande originale du film Wild Wild West. Jouée dans une version plus rock, cette chanson est complètement différente de celle qui figure sur son premier album en anglais (1999). Le jeune public participe d’ailleurs beaucoup sur ce titre plein d’énergie.
Enrique Iglesias entonne ensuite le magnifique Love to see you cry. Cependant, il ne nous propose pas la version française "Tes larmes sont mes baisers" produite spécialement pour notre territoire gaulois. En effet, Enrique ne parle que quelques mots de français. Il lance quand même un "Bonsoir Paris" sous les applaudissements des spectateurs.
Dans un Zénith presque complet, une guitare latine joue l’intro du titre suivant. Il s’agit de Rhythm divine, son second tube en anglais, très proche de Bailamos, qui subit d’ailleurs le même traitement pop rock. Sous un éclairage jaune, Enrique avance doucement sur la passerelle et se lance enfin sur l’avancée centrale, à l’extrémité de laquelle nous sommes positionnés.
Le Zénith est plongé dans le noir afin que les techniciens installent les sièges sur le devant de la scène. On devine que cette séquence sera plus intimiste. La troupe composée des cinq musiciens et de la choriste s’assoie devant le rideau.
Enrique Iglesias s’installe ensuite, à genoux, sur le petit sofa et lance au public "Merci beaucoup d’êtrechhhh ici ce soir". Sous les rires d’un public admiratif, le fils de Julio Iglesias prend le temps de régler son oreillette.
Le chanteur entame cette partie du concert avec Ring my bells, le titre issu de son dernier album studio Insomniac qui aurait aussi mérité de sortir en single. Nous l’avions découvert lorsqu’il était en écoute sur son site internet. Ici, la nouvelle version est encore plus intimiste, proche d’une ballade ; une atmosphère particulière qu’on pourrait qualifier d’insomniaque justement. Le public participe beaucoup, surtout lorsqu’il entend un "Everybody hands in the air !"
Avant d’entamer le titre suivant, Enrique se réhydrate puis lance un surprenant "How many men are here tonight ?" Le jeune latino, qui remporte un tel succès auprès de la gente féminine, choisi ce moment pour s’adresser aux garçons venus accompagner leurs copines... et, évidemment, aux gays !
[Petite aparté : même si la rumeur de son homosexualité coure toujours, Enrique partage la vie d’Anna Kurnikova depuis 2002. C’est à cette date qu’il a rencontré la tenniswoman sur le tournage de son clip Escape].
Les jeunes hommes se prennent en photos avec la star qui chante Don't you forget about me. Sur la fin de cette belle ballade, il laisse chanter l’italien. Intimidé, Marco n’ira pas loin sur l’avancée centrale.
Après une petite pause boisson, le chanteur latino le plus connu dans le monde après Ricky Martin, reprend Purple rain de Prince. Ce titre des années 80 est ici bien réarrangé à la guitare. Les images sont diffusées en live derrière la scène et sur les écrans latéraux qui projettent également des plans d’Enrique et de ses musiciens.
Puis, dans un décor composé de multiples spots bleus, il chante Tired of being sorry à nouveau en solo. Nadiya n’est pas là ce soir pour interpréter la version française, "Laisse le destin l'emporter", sûrement son plus gros tube en France à ce jour.
Le bel hidalgo, qui vit désormais à Miami, termine cette chanson sur la petite scène face à nous.
Puis, derrière la scène principale, l’écran géant représente un jeu vidéo rouge et blanc des années 80, rappelant les débuts de l’informatique grand public.
Le Zénith est plongé dans le noir pendant plusieurs minutes. Les gradins tremblent sous les pieds des fans. La lumière blanche illumine alors la scène sous les "Ooooh oooh ooh" que reprend le public parisien qui reconnaît son dernier tube Takin' back my love.
Cette fois, Enrique nous interprète la version française réalisée avec Tyssem, une jeune française qui avait déjà signé la VF de "The way I are" de Timbaland.
Pour info, à Rotterdam, Edmée Denters (première partie de cette soirée) a chanté avec Enrique cet extrait de la compilation "Greatest hits". Sur disque, au niveau mondial, le morceau est un duo avec Ciara. Pour l’Allemagne, Enrique a proposé à Sarah Connor d’enregistrer une nouvelle version anglaise du titre. Enrique est d’ailleurs un adepte des duos qu’il a déjà signé avec Whitney Houston, Lionel Richie, Kelis, Sean Garrett et Nadiya.
Mais reprenons le déroulé de cette soirée. Seul sur scène, le ravissant jeune homme lance un "Bonsoir Paris" avant d’énumérer toutes les fois où il est venu dans la capitale française. La première fois lorsqu’il était plus jeune, la seconde fois où il a trouvé que c’était la plus belle ville, la troisième fois, etc, "merci, merci, merci !"
C’est une pratique courante pour lui qui choisi une fille du public à chaque concert. A la G-A-Y de Londres en juin 2007, Enrique Iglesias avait choisi pour la circonstance un jeune homme, nouvelle preuve gay friendly.
Au Zénith, cette scène s’achève par la sortie d’Enrique et de la jeune Sabrina par une trappe qui les conduit sous la scène. Au dessus, les guitares retentissent alors que la star est rapidement rééjectée sur la scène.
Le chanteur d’origine espagnole interprète son titre Escape et ramasse les fleurs et les peluches jetées sur scène par ses fans. Ensuite, un foulard bleu à la main, c’est à genoux qu’Enrique Iglesias, se met en signe de reconnaissance de ce bon moment partagé avec son public français. Le public, les mains levées, est très heureux d’avoir vécu cette soirée alors que le rideau retombe déjà à 22 heures.
Ce fût un bon live d’Enrique Iglesias qui a chanté tous ses plus grands tubes. C’est d’ailleurs plutôt un concert qu’un show. Il n’y avait qu’une seule choriste, pas de chorégraphie, ni de danseurs(es). Le décor était simplement constitué d’un éclairage. Le public aurait apprécié la présence de Nadiya. Néanmoins, il était entouré de bons musiciens qui ont bien réadapté ses tubes dans des versions plus pop rock.
www.enriqueiglesias.com
Site du Zénith
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