Il représente un ensemble de personnes cachées derrière des masques vénitiens noirs et or. Parmi les corps enlacés, on reconnaît la chanteuse blonde. La chanson qui illustre cet interlude n’est pas chantée par Britney. Il s’agit de Marylin Manson qui reprend le Sweet dreams de Eurythmics. L’écran se retire en hauteur sur les dernières secondes de cet interlude porno chic mâtiné de sonorités rock. Il laisse apparaître une voltigeuse à plumes sous une lumière rouge. Tenue par une chaîne, elle effectue une brève prestation dans les airs.
Un nouveau visuel est diffusé. Il contient des têtes de cerf et des enceintes. Assise sur un sofa rond, Britney apparaît sur l’une des deux extrémités de la scène pour Freakshow entouré de trois danseurs masqués. Lors des deux premiers soirs à Bercy, elle porte une petite tenue avec des bottes noirs, un noeud de papillon rose au cou et sur les fesses avec un chapeau noir à paillettes et des lunettes blanches. Le dernier soir, elle est revêtue d'une robe en dentelle noire. Durant son interprétation, elle se déplace autour de ses danseurs et parmi les fauteuils répartis ça et là.
Brit rejoint sa troupe au centre de la scène et entame Get naked (I got a plan). Sa mise en scène baroque est similaire à celle du précédent titre qui est également tiré de son album Blackout. Le soir du 6 juillet, elle en profite pour retirer en un geste sa robe laissant apparaître un shorty noir et un soutien-gorge à paillettes. La voix prenante de Danja, le bras droit de Timbaland, résonne en boucle sur ce super titre r’n’b. Entourée de sa troupe entièrement vêtue en noir, la star chevauche le sofa central de façon aguicheuse. Les jeunes hommes torses nus dansent lascivement autour d’elle. Les trois gros cadres dorés complètent le décor.
Un petit film composé d’images de corps de mannequins en plastique est diffusé. L’ambiance Nip Tuck est réussie avec la mélodie du morceau, Mannequin, seulement ajoutée au show à partir de cette seconde date parisienne. Britney Spears sort d’une petite trappe située sur la petite scène devant laquelle nous avons la chance d’être placés. Elle a revêtu un top jaune et une casquette de police alors que ses danseurs portent des marcels blancs. Tous ensemble au centre de la scène, ils dansent en couple. A la fin, ils disparaissent sous la scène.
Des clowns arrivent, une sonnerie retentit, ils sélectionnent une personne du public afin qu'elle décroche. C'est Britney au bout du fil, son visage est projeté sur les écrans. Sur une musique du cirque, ils installent le jeune homme choisi sur un canapé disposé au centre de la scène. Le magicien Ed Alonzo lui fait des tours de magie avec par exemple un ruban aux couleurs du rainbow flag. Les clowns jonglent sur lui.
La jeune femme apparaît et chante Breathe on me. Britney, en petite tenue, se dandine dans l’un des 3 cadres dorés géants qui se surélèvent de chaque côté de la scène. Puis, la lolita descend de son cadre et s’avance près du jeune homme attaché au canapé. Les écrans reconstituent une atmosphère intimiste avec des lustres. Dans son body argenté et noir, elle exécute pour lui une danse lascive sous le regard protecteur de deux molosses.
A la fin du titre, ces deux gardes viennent rapidement le détacher alors qu’une danseuse bande les yeux de Britney. Sur le canapé, elle entame le morceau Touch of my hand dans une prestation très sensuelle. Au dessus d’elle, 2 danseurs sont attachés sur un trapèze où ils tournoient. La chanteuse, qui a vendu plus de 85 millions de disques à travers le monde, les chevauche et s’installe sur le duo qui l’emmène avec eux avant de la redéposer. L’un d’eux revient la chercher puis elle s’agrippe avec eux pour un autre petit tour en apesanteur.
Les lumières de la salle sont éteintes quelques instants. Le guitariste revient sur scène pour nous distiller un son rock. Quelques danseurs investissent la scène puis jouent avec des chalumeaux durant le titre Do something, bien réarrangé par rapport à sa sortie initiale dans le best of My prerogative. Sous les cris des fans, Britney réapparaît dans un nouveau corset noir en strass et un chapeau (hormis le dernier soir à Bercy). Elle effectue une petite chorégraphie puis lance un bonsoir Paris avant de rejoindre l’autre extrémité de la scène toujours sous le bruit des chalumeaux qui distillent leurs spectaculaires étincelles.
Sur le morceau suivant, I’m a slave 4 U, ses danseurs masculins sont attachés pendant qu’elle danse avec son trio de danseuses. Les images animées représentent des mauvaises filles tatouées puis des flammes. A la fin du titre, elle monte dans une nacelle qui la surélève quelques secondes comme dans une montgolfière, en fait durant ce moment là, il aurait du y avoir un cercle de feu sous elle mais il fut absent dans ce show à Bercy ce qui rend la scène un peu étrange.
Alors que l’américaine a quitté la scène, c’est le moment de la présentation des danseurs (Jonathan, Justin, Luke, George…) qui montre chacun leur talent en solo pendant que leur nom s’affiche sur l’écran du haut. Ce passage de danse urbaine est l’occasion d’écouter quelques extraits de l’American boy d’Estelle, du Closer de Ne-Yo et de rendre un bref hommage à Michael Jackson avec le sample utilisé par Rihanna sur Don’t stop the music.
Sur l’un des côtés, l’équipe installe ensuite quatre grilles éventrées pendant l’intro de Toxic. Entourée de sa troupe urbaine, Britney apparaît dans une nouvelle tenue noire et blanche (rose et blanche le lundi) sous un éclairage vert. Ces panneaux sont très vite transportés au centre de la scène. Sur le break de ce nouveau remix, toute la bande effectue une petite chorégraphie du plus bel effet.
Le titre est ici bien réarrangé même si Brit le chantera en playback comme la quasi-totalité des titres de ce spectacle. La batterie, la guitare, la basse et le clavier jouent cependant en live. Avec sa troupe de danseurs, Britney danse autour du cœur de la scène centrale qui se surélève. Les bras en l’air, le public chante les paroles du titre alors que la prestation se termine par un lancement d’air sur les deux petites scènes secondaires.
22h40, la salle est plongée dans le noir. Le public crie sa joie et frappe des mains durant la diffusion d’un nouveau film au montage effréné. Il est composé d’extraits des différents clips de Britney Spears sur le beat appuyé du morceau Break the ice et des hurlements d’un MC : Jump ! Jump ! Le baiser lesbien avec Madonna y figure.
Britney Spears
L’écran, qui représente des caméras de surveillance, s’élève. Il laisse apparaître toute la troupe durant l’intro de Womanizer. Britney et ses danseuses sont en tenue de policiers alors que les danseurs jouent aux bad boys. Il s’agit d’une version extented dans laquelle Britney répète plusieurs fois les I got U crazy … I got U crazy ! La chanson se termine sur une pluie d’étincelles toutes autour de la bande et de confettis sur le public. Puis, les musiciens, disposés en bas de la scène, joue une petite outro sur laquelle Britney salue son public entourée de tous les artistes qui ont participé au spectacle.
Il est 22h50 lorsque le concert s’achève. Britney quitte la scène par le couloir qui la conduit dans les coulisses. Les écrans affichent le visuel du cirque qui représente un clown qui rie.
Notre avis :
Comme beaucoup de critiques, nous regrettons l’absence de live durant ce spectacle. Une star planétaire de ce niveau se doit de chanter en direct et surtout d’être un peu plus humaine en prenant la parole entre les chansons pour remercier tout simplement son public par exemple.
Les fans sont ravis d’entendre tous ses plus grands tubes et une bonne sélection des tubes de ses deux derniers albums. A notre avis, il manque seulement Shattered glass et Kill the lights. Un petit medley avec ses tubes Oops I did it again, Crazy, Stronger et Overpotected n’aurait pas été de refus. Il manquait aussi une partie plus down tempo avec, pourquoi pas Born to make you happy ou Lucky.
Le spectacle en lui-même était cependant de haut niveau avec de bons visuels et beaucoup de moyens déployés par le producteur AEG Live, le groupe qui organisait le retour de Michael Jackson sur scène.
Les chorégraphies en groupe étaient très travaillées avec une multitude de danseurs. Il faut dire que cette tournée est dirigée par Jamie King qui a conçu les dernières tournées de Madonna, Celine Dion, Spice Girls, Ricky Martin et Christina Aguilera.
Quant aux tenues vestimentaires, elles étaient jolies mais nous regrettons qu’elles se ressemblent toutes. Britney a abusé de body et de shorty noirs avec strass et paillettes. Seule celle de Bollywood était différente avec son bleu turquoise.
Ces trois dates parisiennes étaient plutôt bien remplies. La mère de Sean Preston et Jayden James a pu profité de son séjour parisien pour emmener ses enfants à la Tour Eiffel. Le retour à la vie normale pour la star des tabloïds ?
Un nouveau visuel est diffusé. Il contient des têtes de cerf et des enceintes. Assise sur un sofa rond, Britney apparaît sur l’une des deux extrémités de la scène pour Freakshow entouré de trois danseurs masqués. Lors des deux premiers soirs à Bercy, elle porte une petite tenue avec des bottes noirs, un noeud de papillon rose au cou et sur les fesses avec un chapeau noir à paillettes et des lunettes blanches. Le dernier soir, elle est revêtue d'une robe en dentelle noire. Durant son interprétation, elle se déplace autour de ses danseurs et parmi les fauteuils répartis ça et là.
Brit rejoint sa troupe au centre de la scène et entame Get naked (I got a plan). Sa mise en scène baroque est similaire à celle du précédent titre qui est également tiré de son album Blackout. Le soir du 6 juillet, elle en profite pour retirer en un geste sa robe laissant apparaître un shorty noir et un soutien-gorge à paillettes. La voix prenante de Danja, le bras droit de Timbaland, résonne en boucle sur ce super titre r’n’b. Entourée de sa troupe entièrement vêtue en noir, la star chevauche le sofa central de façon aguicheuse. Les jeunes hommes torses nus dansent lascivement autour d’elle. Les trois gros cadres dorés complètent le décor.
Un petit film composé d’images de corps de mannequins en plastique est diffusé. L’ambiance Nip Tuck est réussie avec la mélodie du morceau, Mannequin, seulement ajoutée au show à partir de cette seconde date parisienne. Britney Spears sort d’une petite trappe située sur la petite scène devant laquelle nous avons la chance d’être placés. Elle a revêtu un top jaune et une casquette de police alors que ses danseurs portent des marcels blancs. Tous ensemble au centre de la scène, ils dansent en couple. A la fin, ils disparaissent sous la scène.
Des clowns arrivent, une sonnerie retentit, ils sélectionnent une personne du public afin qu'elle décroche. C'est Britney au bout du fil, son visage est projeté sur les écrans. Sur une musique du cirque, ils installent le jeune homme choisi sur un canapé disposé au centre de la scène. Le magicien Ed Alonzo lui fait des tours de magie avec par exemple un ruban aux couleurs du rainbow flag. Les clowns jonglent sur lui.
La jeune femme apparaît et chante Breathe on me. Britney, en petite tenue, se dandine dans l’un des 3 cadres dorés géants qui se surélèvent de chaque côté de la scène. Puis, la lolita descend de son cadre et s’avance près du jeune homme attaché au canapé. Les écrans reconstituent une atmosphère intimiste avec des lustres. Dans son body argenté et noir, elle exécute pour lui une danse lascive sous le regard protecteur de deux molosses.
A la fin du titre, ces deux gardes viennent rapidement le détacher alors qu’une danseuse bande les yeux de Britney. Sur le canapé, elle entame le morceau Touch of my hand dans une prestation très sensuelle. Au dessus d’elle, 2 danseurs sont attachés sur un trapèze où ils tournoient. La chanteuse, qui a vendu plus de 85 millions de disques à travers le monde, les chevauche et s’installe sur le duo qui l’emmène avec eux avant de la redéposer. L’un d’eux revient la chercher puis elle s’agrippe avec eux pour un autre petit tour en apesanteur.
Les lumières de la salle sont éteintes quelques instants. Le guitariste revient sur scène pour nous distiller un son rock. Quelques danseurs investissent la scène puis jouent avec des chalumeaux durant le titre Do something, bien réarrangé par rapport à sa sortie initiale dans le best of My prerogative. Sous les cris des fans, Britney réapparaît dans un nouveau corset noir en strass et un chapeau (hormis le dernier soir à Bercy). Elle effectue une petite chorégraphie puis lance un bonsoir Paris avant de rejoindre l’autre extrémité de la scène toujours sous le bruit des chalumeaux qui distillent leurs spectaculaires étincelles.
Sur le morceau suivant, I’m a slave 4 U, ses danseurs masculins sont attachés pendant qu’elle danse avec son trio de danseuses. Les images animées représentent des mauvaises filles tatouées puis des flammes. A la fin du titre, elle monte dans une nacelle qui la surélève quelques secondes comme dans une montgolfière, en fait durant ce moment là, il aurait du y avoir un cercle de feu sous elle mais il fut absent dans ce show à Bercy ce qui rend la scène un peu étrange.
Alors que l’américaine a quitté la scène, c’est le moment de la présentation des danseurs (Jonathan, Justin, Luke, George…) qui montre chacun leur talent en solo pendant que leur nom s’affiche sur l’écran du haut. Ce passage de danse urbaine est l’occasion d’écouter quelques extraits de l’American boy d’Estelle, du Closer de Ne-Yo et de rendre un bref hommage à Michael Jackson avec le sample utilisé par Rihanna sur Don’t stop the music.
Sur l’un des côtés, l’équipe installe ensuite quatre grilles éventrées pendant l’intro de Toxic. Entourée de sa troupe urbaine, Britney apparaît dans une nouvelle tenue noire et blanche (rose et blanche le lundi) sous un éclairage vert. Ces panneaux sont très vite transportés au centre de la scène. Sur le break de ce nouveau remix, toute la bande effectue une petite chorégraphie du plus bel effet.
Le titre est ici bien réarrangé même si Brit le chantera en playback comme la quasi-totalité des titres de ce spectacle. La batterie, la guitare, la basse et le clavier jouent cependant en live. Avec sa troupe de danseurs, Britney danse autour du cœur de la scène centrale qui se surélève. Les bras en l’air, le public chante les paroles du titre alors que la prestation se termine par un lancement d’air sur les deux petites scènes secondaires.
22h40, la salle est plongée dans le noir. Le public crie sa joie et frappe des mains durant la diffusion d’un nouveau film au montage effréné. Il est composé d’extraits des différents clips de Britney Spears sur le beat appuyé du morceau Break the ice et des hurlements d’un MC : Jump ! Jump ! Le baiser lesbien avec Madonna y figure.
L’écran, qui représente des caméras de surveillance, s’élève. Il laisse apparaître toute la troupe durant l’intro de Womanizer. Britney et ses danseuses sont en tenue de policiers alors que les danseurs jouent aux bad boys. Il s’agit d’une version extented dans laquelle Britney répète plusieurs fois les I got U crazy … I got U crazy ! La chanson se termine sur une pluie d’étincelles toutes autour de la bande et de confettis sur le public. Puis, les musiciens, disposés en bas de la scène, joue une petite outro sur laquelle Britney salue son public entourée de tous les artistes qui ont participé au spectacle.
Il est 22h50 lorsque le concert s’achève. Britney quitte la scène par le couloir qui la conduit dans les coulisses. Les écrans affichent le visuel du cirque qui représente un clown qui rie.
Notre avis :
Comme beaucoup de critiques, nous regrettons l’absence de live durant ce spectacle. Une star planétaire de ce niveau se doit de chanter en direct et surtout d’être un peu plus humaine en prenant la parole entre les chansons pour remercier tout simplement son public par exemple.
Les fans sont ravis d’entendre tous ses plus grands tubes et une bonne sélection des tubes de ses deux derniers albums. A notre avis, il manque seulement Shattered glass et Kill the lights. Un petit medley avec ses tubes Oops I did it again, Crazy, Stronger et Overpotected n’aurait pas été de refus. Il manquait aussi une partie plus down tempo avec, pourquoi pas Born to make you happy ou Lucky.
Le spectacle en lui-même était cependant de haut niveau avec de bons visuels et beaucoup de moyens déployés par le producteur AEG Live, le groupe qui organisait le retour de Michael Jackson sur scène.
Les chorégraphies en groupe étaient très travaillées avec une multitude de danseurs. Il faut dire que cette tournée est dirigée par Jamie King qui a conçu les dernières tournées de Madonna, Celine Dion, Spice Girls, Ricky Martin et Christina Aguilera.
Quant aux tenues vestimentaires, elles étaient jolies mais nous regrettons qu’elles se ressemblent toutes. Britney a abusé de body et de shorty noirs avec strass et paillettes. Seule celle de Bollywood était différente avec son bleu turquoise.
Ces trois dates parisiennes étaient plutôt bien remplies. La mère de Sean Preston et Jayden James a pu profité de son séjour parisien pour emmener ses enfants à la Tour Eiffel. Le retour à la vie normale pour la star des tabloïds ?
Site d'un fan français de Britney Spears
Site d'infos en français sur Britney Spears
Site anglophone sur Britney Spears
Site officiel de Slimmy
Site de l'Accor Hotel Arena
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