Ce 14 juillet 2012, la Queen of Pop faisait sont retour à Paris dans le cadre de son MDNA tour ! Madonna s’est produite au Stade de France où nous l’avions déjà vue lors de son premier passage pour le "Sticky & Sweet Tour" il y a 4 ans déjà.
Depuis, certaines choses semblent avoir changé. La madonne passionne moins les foules et cela se voit dans les quelques difficultés à remplir le Stade mais aussi à écouler les exemplaires de son dernier album "MDNA".
De notre côté, même s’il y avait un risque que celui-ci soit ressemblant des précédents et même si son dernier album nous a, on peut le dire, déçu, nous ne voulions pas rater son nouveau spectacle. Car c’est Madonna !
Nous lui en voulons un peu de faire ses concerts dans les stades (mais çà rapporte !) et surtout, sur cet opus, nous n’adorons que "Girls gone wild" et "Gang bang", alors que nous aimions ses précédents dans leur globalité. Après quelques hésitations, nous avons quand même pris nos billets car la star américaine propose toujours du grand spectacle. Voici notre compte-rendu en texte et photos.
La première partie de ce Stade de France a été confiée à Martin Solveig avec qui Madonna a travaillé 5 morceaux de son album "MDNA". Mignon avec son bandeau sur la tête, Martin Solveig a joué des remix des tubes de Madonna, "Beautiful killer" qu'ils ont composé ensemble, mais aussi ses propres solo (dont son dernier single "The night out") sur lequel il chante parfois, et d'autres hits plus ou moins récents dont le fameux "Niggas in Paris".
Martin est aussi présent sur plusieurs autres dates européennes sauf celles confiées à Alesso, Sebastian Ingrosso et Paul Oakenfold. Le dj gay Offer Nissim était lui à Tel Aviv. A Londres, il devrait aussi y avoir les LMFAO, ainsi qu’à Nice le 21 août où Madonna clôturera sa tournée européenne.
A Paris, nous avons eu la venue surprise de Will.i.am sur "Boom boom pow". Il a ensuite chanté son nouveau single This is love puis I gotta feeling. Le rappeur américain retrouvait le Stade de France où il avait donné trois concerts en juin 2011 avec son groupe Black Eyed Peas.
Le manageur de Madonna, Guy Oseary, prend quelques photos des fans agglutinés dans la fosse et qui ont patienté, pour la majorité, depuis de très longues heures.
Il faut attendre la nuit tombée (pas la pluie, ouf, la météo aura été clémente finalement !) pour que le show commence. Il est près de 22h15 quand Madonna entre en scène après l’introduction religieuse qui se déroule dans un monastère. Le trio basque Kalakan figure dans ce premier tableau où il chante "Birjina Gaztetto bat Zegoen" alors qu’un gros encensoir se balance devant un vitrail majestueux.
La star américaine brise les vitres de sa petite chapelle et le tableau Trangression commence sur Girl Gone Wild, second single de son album MDNA qui contient ici des éléments du remix d’Offer Nissim et de courtes brides de "Material girl" et de "Give it 2 me".
La folle furieuse tire un coup de feu et poursuit sa violence sur le titre Revolver. Le rappeur Lil Wayne apparaît dans le visuel consacré aux armes à feu. Entendant les sirènes de police, la forcenée se réfugie dans un motel pour Gang Bang. On a comme l’impression de retrouver Madonna au théâtre dans ce tableau qui donne à voir des scènes d’action lorsqu’elle combat sur le lit disposé sous une croix géante. A chacun de ses coups de feu, le sang gicle sur le grand écran situé au fond de la scène. On ne sait pas ce que donnera le clip qui devrait être tourné pour ce morceau, ni s’il sera réalisé par Quentin Tarantino, mais l’atmosphère de cette future vidéo est déjà là.
La scène se termine devant nous après que Madonna ai empruntée le catwalk qui nous sépare du golden triangle, lieux où sont présents quelques fans triés sur le volet ainsi que Jean-Paul Gaultier, Florence Foresti et Dita von Teese.
Sur l’extrémité de la scène, la chanteuse interprète Papa don't preach quand 4 hommes d’une milice viennent la chercher. Ils la rapportent sur la scène centrale devant le visuel tribal et au son de Hung up. Ce morceau est tout juste reconnaissable tant il est réarrangé avec quelques éléments de "Live to tell", "Girl gone wild" et "Sorry".
Le trio basque revient pour assurer la transition, puis Madonna s’avance vers nous avec sa guitare en bandoulière. Elle chante I don't give a, morceau signé Solveig, tandis que Nicki Minaj apparaît sur les écrans pour la partie rappée.
Le temple s’embrase et une grosse croix apparaît à la fin de ce tableau qui se complète avec un nouvel interlude sur le bonus track de MDNA, Best friend, qui contient des extraits de "Heartbeat". Devant les images sombres, voire mortuaires, qui accompagnent ce passage, plusieurs hommes portant des masques SM se contorsionnent. C’est glauque.
Depuis, certaines choses semblent avoir changé. La madonne passionne moins les foules et cela se voit dans les quelques difficultés à remplir le Stade mais aussi à écouler les exemplaires de son dernier album "MDNA".
De notre côté, même s’il y avait un risque que celui-ci soit ressemblant des précédents et même si son dernier album nous a, on peut le dire, déçu, nous ne voulions pas rater son nouveau spectacle. Car c’est Madonna !
Nous lui en voulons un peu de faire ses concerts dans les stades (mais çà rapporte !) et surtout, sur cet opus, nous n’adorons que "Girls gone wild" et "Gang bang", alors que nous aimions ses précédents dans leur globalité. Après quelques hésitations, nous avons quand même pris nos billets car la star américaine propose toujours du grand spectacle. Voici notre compte-rendu en texte et photos.
La première partie de ce Stade de France a été confiée à Martin Solveig avec qui Madonna a travaillé 5 morceaux de son album "MDNA". Mignon avec son bandeau sur la tête, Martin Solveig a joué des remix des tubes de Madonna, "Beautiful killer" qu'ils ont composé ensemble, mais aussi ses propres solo (dont son dernier single "The night out") sur lequel il chante parfois, et d'autres hits plus ou moins récents dont le fameux "Niggas in Paris".
Martin est aussi présent sur plusieurs autres dates européennes sauf celles confiées à Alesso, Sebastian Ingrosso et Paul Oakenfold. Le dj gay Offer Nissim était lui à Tel Aviv. A Londres, il devrait aussi y avoir les LMFAO, ainsi qu’à Nice le 21 août où Madonna clôturera sa tournée européenne.
A Paris, nous avons eu la venue surprise de Will.i.am sur "Boom boom pow". Il a ensuite chanté son nouveau single This is love puis I gotta feeling. Le rappeur américain retrouvait le Stade de France où il avait donné trois concerts en juin 2011 avec son groupe Black Eyed Peas.
Le manageur de Madonna, Guy Oseary, prend quelques photos des fans agglutinés dans la fosse et qui ont patienté, pour la majorité, depuis de très longues heures.
Il faut attendre la nuit tombée (pas la pluie, ouf, la météo aura été clémente finalement !) pour que le show commence. Il est près de 22h15 quand Madonna entre en scène après l’introduction religieuse qui se déroule dans un monastère. Le trio basque Kalakan figure dans ce premier tableau où il chante "Birjina Gaztetto bat Zegoen" alors qu’un gros encensoir se balance devant un vitrail majestueux.
La star américaine brise les vitres de sa petite chapelle et le tableau Trangression commence sur Girl Gone Wild, second single de son album MDNA qui contient ici des éléments du remix d’Offer Nissim et de courtes brides de "Material girl" et de "Give it 2 me".
La folle furieuse tire un coup de feu et poursuit sa violence sur le titre Revolver. Le rappeur Lil Wayne apparaît dans le visuel consacré aux armes à feu. Entendant les sirènes de police, la forcenée se réfugie dans un motel pour Gang Bang. On a comme l’impression de retrouver Madonna au théâtre dans ce tableau qui donne à voir des scènes d’action lorsqu’elle combat sur le lit disposé sous une croix géante. A chacun de ses coups de feu, le sang gicle sur le grand écran situé au fond de la scène. On ne sait pas ce que donnera le clip qui devrait être tourné pour ce morceau, ni s’il sera réalisé par Quentin Tarantino, mais l’atmosphère de cette future vidéo est déjà là.
La scène se termine devant nous après que Madonna ai empruntée le catwalk qui nous sépare du golden triangle, lieux où sont présents quelques fans triés sur le volet ainsi que Jean-Paul Gaultier, Florence Foresti et Dita von Teese.
Sur l’extrémité de la scène, la chanteuse interprète Papa don't preach quand 4 hommes d’une milice viennent la chercher. Ils la rapportent sur la scène centrale devant le visuel tribal et au son de Hung up. Ce morceau est tout juste reconnaissable tant il est réarrangé avec quelques éléments de "Live to tell", "Girl gone wild" et "Sorry".
Le trio basque revient pour assurer la transition, puis Madonna s’avance vers nous avec sa guitare en bandoulière. Elle chante I don't give a, morceau signé Solveig, tandis que Nicki Minaj apparaît sur les écrans pour la partie rappée.
Le temple s’embrase et une grosse croix apparaît à la fin de ce tableau qui se complète avec un nouvel interlude sur le bonus track de MDNA, Best friend, qui contient des extraits de "Heartbeat". Devant les images sombres, voire mortuaires, qui accompagnent ce passage, plusieurs hommes portant des masques SM se contorsionnent. C’est glauque.
Twitter officiel de Madonna
Facebook officiel de Madonna
Madonnarama
Madonna-Electronica
News-of-Madonna
MadonnaFrance
MadonnaTribe
Site officiel de Martin Solveig
Site officiel des Black Eyed Peas
Vos réactions / commentaires
D'autres sujets qui peuvent vous intéresser
Douchka enchante Conflans-Sainte-Honorine avec un souffle Disney
Regi vs Milk Inc au Sportpaleis d'Anvers
Janet Jackson - Together Again (Paris - 2024)
NEVERMORE, le concert de Mylène Farmer au Stade de France (Paris - 2024)
Dj Bobo Evolut30n Tour 2024 à Varsovie
Cornelia Jakobs enflamme le Café de la Danse !
Eurovision in Concert 2024 à Amsterdam
GO_A, groupe ukrainien, en concert à la Maroquinerie à Paris
Loreen en concert à l'Alhambra
Renaissance : A film by Beyoncé