Après avoir collaboré avec les marques vestimentaires les plus hype, élaboré un parfum, préparé une exposition parisienne en hommage aux femmes, dessiné des bijoux mais aussi des meubles…. Pharrell Williams poursuit sa carrière musicale avec une tournée européenne qui a débuté le 7 septembre à Istanbul en Turquie.
En France, Pharrell Williams s’est produit au Zénith de Toulouse le 6 octobre 2014, à celui de Nantes le 7/10, et pour 4 dates au Zénith de Paris du 13 au 16 octobre. C’est sa première de cette ampleur et celle-ci a pour objet de défendre son album GIRL. Nous sommes allés applaudir, lors du Dear Girl Tour le 15 octobre, l’auteur revenu en force avec les tubes Get lucky, Blurred line et surtout Happy.
Notre avis sur les deux premières parties est à lire après le résumé du concert de Pharrell Williams.
20h55. Les techniciens retirent la bâche de la seconde première partie. Nous découvrons la scène de ce Dear Girl Tour, son grand écran en fond de scène, un autre de taille moyenne au milieu, ainsi que le plexiglas rose fluo des instruments de musique.
Après encore une bonne demi-heure d’attente, il est 21h30 lorsque la musique démarre. Des jeunes femmes apparaissent, immobiles et réparties sur toute la scène. Entrant sur les hauteurs d’un décor simple, Pharrell Williams est accueilli par les cris puissants de la foule alors que les filles se mettent à danser lascivement.
La star porte une veste Adidas rose, marque dont le symbole recouvre le fessier de l’américain. Son look est complété par un beau chapeau bleu et plusieurs longs colliers. Ses yeux sont très maquillés. Pharrell chante le Come get it bae accompagné de la partie vocale enregistrée par Miley Cyrus pour l’album GIRL. Il salut son public et notamment ceux déjà présents la veille.
Le gentleman retire sa veste pour repartir sur l’excellent Frontin’. C’est un morceau de 2003, que nous aimons beaucoup, et qui est ici chaîné à Hunter, morceau présent sur son second album GIRL. PharreIl évolue parmi ses danseuses qui semblent nues sous leurs peignoirs. Il est également accompagné de ses 2 choristes et 4 musiciens.
Place maintenant à Marilyn Monroe, second single de son opus dédié aux femmes. Pharrell y joue de sa sex attitude, mais l’américain est encore plus funky lorsqu’il danse avec ses deux choristes sur Brand new, morceau sur lequel on entend aussi la voix de Justin Timberlake.
Viennent ensuite quelques reprises old school ; avec pour commencer le Hot in herre de Nelly, produit par les Neptunes. L'homme au chapeau poursuit ce medley rap avec I just wanna love U (Give it 2 me) de Jay Z et Pass the Courvoisier (Part II) de Busta Rhymes. Ces titres sont très appréciés notamment de ceux qui connaissaient le producteur bien avant qu’il n’explose avec ses titres solos si radiophoniques.
Pharrell revient momentanément à son dernier album avec le titre Gush. Notre regard se porte sur les chaussures rouges de la star qui portent les inscriptions "equality" et "education", des messages chers à Pharrell.
Sur l’écran est projeté un visuel animé tandis que la chorégraphie hip hop des danseuses déborde d’énergie.
Cette troupe qui porte le nom The Baes est acclamée par le public friand de ce type de chorégraphies.
Pharrell fait applaudir son band et surtout à ses danseuses. Chacune nous fait un solo de danse alors que son prénom s’affiche sur l’écran géant. Tous les bons ingrédients d’une battle hip hop sont réunis. Les amateurs de booty shake et de twerk sont excités par ces danses hip-hop, très sexe. Ces 5 Dear Baes sont incontrôlables sur les productions du boss dont I’m a slave 4 U de Britney Spears.
La star américaine revient avec un t-shirt large à l’effigie des Rolling Stones et un bandana sur le front. Il cite ses girls une à une avant qu’un autre rappeur n’arrive à ses côtés. C’est Shay Haley, autre membre des N*E*R*D, que les plus fans ont pu reconnaître.
S’en suivent donc trois chansons de ce collectif, avec pour commencer Rock star et Lapdance. C’est sur ces titres que l’artiste désigne dans le public une vingtaine de fans lookés et souvent à casquettes. Il les fait monter sur la scène du Zénith pour un moment que ces jeunes apprécient. Ça jump de partout ! C’est un moment de partage comme nous en avons rarement vu de la part d’une vedette américaine. Mais, Pharrell lui est très cool !
Une fois tous redescendus, c’est au tour d’une quinzaine de filles de venir aux côtés du chanteur, qui passe alors au titre She wants to move. Il danse avec elles, se frotte à certaines dont une qui n’est vraiment pas timide et relève le défi haut la main.
Nous avons plaisir à l’entendre ensuite sur l’excellent Beautiful mais cela va très vite, car le morceau est couplé à un autre titre de Snoop Dogg. Sur Drop it like it's hot, il nous fait chanter le gimmick enregistré avec le rappeur. L’ambiance est décidément très bonne et le public est conquis.
Les lumières virent au rose alors que le tempo ralenti. C’est le moment des deux ballades hip hop avec ses choristes. Il s’agit de morceaux de son album GIRL, Lost queen puis It girl, sur lequel la star du duo The Neptunes (avec son complice Chad Hugo) enlace ses danseuses.
Pharrell déclare The french are good to me et demande à ce que les lumières soient rallumées sur la foule, car il veut tous nous voir. Avec ce bon sentiment, la star s’assure de préserver son capital sympathie auprès de son public qui s’étoffe au fur et à mesure que son répertoire monte en puissance dans un esprit feel good. Le nouveau génie de la musique fait alors un nouveau bain de foule, provoquant une certaine agitation dans les premiers rangs.
Pharrell rappelle sa bande féminine pour Hollaback girl qu’il a produit pour Gwen Stefani, actuellement sa collègue au sein du jury The Voice aux Etats-Unis. Nos yeux sont grands ouverts sur la nouvelle chorégraphie des girls, alors que lui est en retrait derrière son pied de micro.
Arrive maintenant l’heure des gros tubes internationaux avec, pour commencer, celui de Robin Thicke, Blurred lines. Tout le monde chante et cela continue avec le fameux Get lucky des Daft Punk. Quel titre ! Il nous laisse apprécier le moment tout en s’éclipsant en coulisses, nous laissant apprécier un solo de guitare (funky) pour le final.
Le Zénith est plongé dans le noir deux longues minutes pour que Monsieur Williams ai le temps de remettre son chapeau bleu et d’enfiler de nouvelles chaussures décorées de strass et paillettes violettes. Quel swagg !
La silhouette du chanteur réapparait dans un rond blanc très design, à l’intérieur du reste de l’écran qui, lui, est noir. C’est maintenant au tour de Lose yourself to dance, autre titre enregistré avec les Daft Punk. Sur le riff de guitare funky, il remercie le duo français pour cette nouvelle collaboration.
Le visuel animé est futuriste et coloré pour Gust of wind, également enregistré avec Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christole et présent sur son album GIRL. Ses danseuses se déhanchent sur ce beat puissant, tandis que lui est à nouveau attiré par la fosse. Le public agite ses bras en l’air sur ce morceau au rythme imparable.
Pharrell veut réveiller les consciences par le biais d’un speech évoquant les réseaux sociaux et plus particulièrement les droits humains. Etes-vous fatigués d’avoir peur ? nous demande-t-il avant de nous faire répéter plusieurs fois I’m not afraid.
Tonight I’m gonna be happy ! lance-t-il avant de passer à son plus gros succès : Happy. Son tube a été gardé au chaud pour le final qui va être très fun avec un lancer de confettis et un visuel animé. Il fait monter les plus jeunes sur scène et porte une fillette pour un selfie.
Il est 22h55 lorsque le showman nous salue avant de quitter la scène, laissant les spectateurs le sourire aux lèvres d’avoir assisté à un tel spectacle. Le public à très vite été emporté par l’énergie, la cool attitude et la proximité de Pharrell Williams envers son public.
La seule critique qui peut être faite sur le concert concerne la durée. 1h20 c’est évidemment trop court pour un tel spectacle et ce même après avoir eu droit à deux premières parties.
Vidéo du show
Vidéo concert du Zénith de Pharell Williams
Notre galerie photo du concert de Pharrell William au Zénith de Paris
En France, Pharrell Williams s’est produit au Zénith de Toulouse le 6 octobre 2014, à celui de Nantes le 7/10, et pour 4 dates au Zénith de Paris du 13 au 16 octobre. C’est sa première de cette ampleur et celle-ci a pour objet de défendre son album GIRL. Nous sommes allés applaudir, lors du Dear Girl Tour le 15 octobre, l’auteur revenu en force avec les tubes Get lucky, Blurred line et surtout Happy.
Notre avis sur les deux premières parties est à lire après le résumé du concert de Pharrell Williams.
20h55. Les techniciens retirent la bâche de la seconde première partie. Nous découvrons la scène de ce Dear Girl Tour, son grand écran en fond de scène, un autre de taille moyenne au milieu, ainsi que le plexiglas rose fluo des instruments de musique.
Après encore une bonne demi-heure d’attente, il est 21h30 lorsque la musique démarre. Des jeunes femmes apparaissent, immobiles et réparties sur toute la scène. Entrant sur les hauteurs d’un décor simple, Pharrell Williams est accueilli par les cris puissants de la foule alors que les filles se mettent à danser lascivement.
La star porte une veste Adidas rose, marque dont le symbole recouvre le fessier de l’américain. Son look est complété par un beau chapeau bleu et plusieurs longs colliers. Ses yeux sont très maquillés. Pharrell chante le Come get it bae accompagné de la partie vocale enregistrée par Miley Cyrus pour l’album GIRL. Il salut son public et notamment ceux déjà présents la veille.
Le gentleman retire sa veste pour repartir sur l’excellent Frontin’. C’est un morceau de 2003, que nous aimons beaucoup, et qui est ici chaîné à Hunter, morceau présent sur son second album GIRL. PharreIl évolue parmi ses danseuses qui semblent nues sous leurs peignoirs. Il est également accompagné de ses 2 choristes et 4 musiciens.
Place maintenant à Marilyn Monroe, second single de son opus dédié aux femmes. Pharrell y joue de sa sex attitude, mais l’américain est encore plus funky lorsqu’il danse avec ses deux choristes sur Brand new, morceau sur lequel on entend aussi la voix de Justin Timberlake.
Viennent ensuite quelques reprises old school ; avec pour commencer le Hot in herre de Nelly, produit par les Neptunes. L'homme au chapeau poursuit ce medley rap avec I just wanna love U (Give it 2 me) de Jay Z et Pass the Courvoisier (Part II) de Busta Rhymes. Ces titres sont très appréciés notamment de ceux qui connaissaient le producteur bien avant qu’il n’explose avec ses titres solos si radiophoniques.
Pharrell revient momentanément à son dernier album avec le titre Gush. Notre regard se porte sur les chaussures rouges de la star qui portent les inscriptions "equality" et "education", des messages chers à Pharrell.
Sur l’écran est projeté un visuel animé tandis que la chorégraphie hip hop des danseuses déborde d’énergie.
Cette troupe qui porte le nom The Baes est acclamée par le public friand de ce type de chorégraphies.
Pharrell fait applaudir son band et surtout à ses danseuses. Chacune nous fait un solo de danse alors que son prénom s’affiche sur l’écran géant. Tous les bons ingrédients d’une battle hip hop sont réunis. Les amateurs de booty shake et de twerk sont excités par ces danses hip-hop, très sexe. Ces 5 Dear Baes sont incontrôlables sur les productions du boss dont I’m a slave 4 U de Britney Spears.
La star américaine revient avec un t-shirt large à l’effigie des Rolling Stones et un bandana sur le front. Il cite ses girls une à une avant qu’un autre rappeur n’arrive à ses côtés. C’est Shay Haley, autre membre des N*E*R*D, que les plus fans ont pu reconnaître.
S’en suivent donc trois chansons de ce collectif, avec pour commencer Rock star et Lapdance. C’est sur ces titres que l’artiste désigne dans le public une vingtaine de fans lookés et souvent à casquettes. Il les fait monter sur la scène du Zénith pour un moment que ces jeunes apprécient. Ça jump de partout ! C’est un moment de partage comme nous en avons rarement vu de la part d’une vedette américaine. Mais, Pharrell lui est très cool !
Une fois tous redescendus, c’est au tour d’une quinzaine de filles de venir aux côtés du chanteur, qui passe alors au titre She wants to move. Il danse avec elles, se frotte à certaines dont une qui n’est vraiment pas timide et relève le défi haut la main.
Nous avons plaisir à l’entendre ensuite sur l’excellent Beautiful mais cela va très vite, car le morceau est couplé à un autre titre de Snoop Dogg. Sur Drop it like it's hot, il nous fait chanter le gimmick enregistré avec le rappeur. L’ambiance est décidément très bonne et le public est conquis.
Les lumières virent au rose alors que le tempo ralenti. C’est le moment des deux ballades hip hop avec ses choristes. Il s’agit de morceaux de son album GIRL, Lost queen puis It girl, sur lequel la star du duo The Neptunes (avec son complice Chad Hugo) enlace ses danseuses.
Pharrell déclare The french are good to me et demande à ce que les lumières soient rallumées sur la foule, car il veut tous nous voir. Avec ce bon sentiment, la star s’assure de préserver son capital sympathie auprès de son public qui s’étoffe au fur et à mesure que son répertoire monte en puissance dans un esprit feel good. Le nouveau génie de la musique fait alors un nouveau bain de foule, provoquant une certaine agitation dans les premiers rangs.
Pharrell rappelle sa bande féminine pour Hollaback girl qu’il a produit pour Gwen Stefani, actuellement sa collègue au sein du jury The Voice aux Etats-Unis. Nos yeux sont grands ouverts sur la nouvelle chorégraphie des girls, alors que lui est en retrait derrière son pied de micro.
Arrive maintenant l’heure des gros tubes internationaux avec, pour commencer, celui de Robin Thicke, Blurred lines. Tout le monde chante et cela continue avec le fameux Get lucky des Daft Punk. Quel titre ! Il nous laisse apprécier le moment tout en s’éclipsant en coulisses, nous laissant apprécier un solo de guitare (funky) pour le final.
Le Zénith est plongé dans le noir deux longues minutes pour que Monsieur Williams ai le temps de remettre son chapeau bleu et d’enfiler de nouvelles chaussures décorées de strass et paillettes violettes. Quel swagg !
La silhouette du chanteur réapparait dans un rond blanc très design, à l’intérieur du reste de l’écran qui, lui, est noir. C’est maintenant au tour de Lose yourself to dance, autre titre enregistré avec les Daft Punk. Sur le riff de guitare funky, il remercie le duo français pour cette nouvelle collaboration.
Le visuel animé est futuriste et coloré pour Gust of wind, également enregistré avec Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christole et présent sur son album GIRL. Ses danseuses se déhanchent sur ce beat puissant, tandis que lui est à nouveau attiré par la fosse. Le public agite ses bras en l’air sur ce morceau au rythme imparable.
Pharrell veut réveiller les consciences par le biais d’un speech évoquant les réseaux sociaux et plus particulièrement les droits humains. Etes-vous fatigués d’avoir peur ? nous demande-t-il avant de nous faire répéter plusieurs fois I’m not afraid.
Tonight I’m gonna be happy ! lance-t-il avant de passer à son plus gros succès : Happy. Son tube a été gardé au chaud pour le final qui va être très fun avec un lancer de confettis et un visuel animé. Il fait monter les plus jeunes sur scène et porte une fillette pour un selfie.
Il est 22h55 lorsque le showman nous salue avant de quitter la scène, laissant les spectateurs le sourire aux lèvres d’avoir assisté à un tel spectacle. Le public à très vite été emporté par l’énergie, la cool attitude et la proximité de Pharrell Williams envers son public.
La seule critique qui peut être faite sur le concert concerne la durée. 1h20 c’est évidemment trop court pour un tel spectacle et ce même après avoir eu droit à deux premières parties.
Vidéo du show
Notre galerie photo du concert de Pharrell William au Zénith de Paris
Facebook de Pharrel Williams
Instagram de Pharrel Williams
Site du Zénith
Vos réactions / commentaires
D'autres sujets qui peuvent vous intéresser
Douchka enchante Conflans-Sainte-Honorine avec un souffle Disney
Regi vs Milk Inc au Sportpaleis d'Anvers
Janet Jackson - Together Again (Paris - 2024)
NEVERMORE, le concert de Mylène Farmer au Stade de France (Paris - 2024)
Dj Bobo Evolut30n Tour 2024 à Varsovie
Cornelia Jakobs enflamme le Café de la Danse !
Eurovision in Concert 2024 à Amsterdam
GO_A, groupe ukrainien, en concert à la Maroquinerie à Paris
Loreen en concert à l'Alhambra
Renaissance : A film by Beyoncé