Cette diffusion prend fin. Janet Jackson est déjà assise devant ses fans pour Nothing lorsque les lumières de la salle mythique se rallument. L’américaine n’a pas profité de cette pause pour changer de tenue, elle revient encore en blanc pour une courte partie intimiste, avec trois gros lustres ajoutés au décor.
Son timbre de voix est particulier, son interprétation est nasale sur cette chanson, laquelle est d’ailleurs très jacksonnienne. "Nothing", morceau sorti en 2010, est présent sur la bande originale du film "Why did I get married too ?".
Ce medley downtempo se poursuit avec Come back to me, qu’elle chante également assise sur son tabouret, une serviette à la main. Janet se lève ensuite pour sa ballade Let's wait awhile sur laquelle ses fans reprennent les paroles. La jolie brune est visiblement émue alors qu’est lancée la mélodie de Again, une jolie ballade chantée en intégralité devant un visuel simple mais joli.
Janet Jackson retourne en coulisses après ce passage très tendre et chargé d’émotion. Le public visionne alors un défilé de photos de la star. Ses plus grands clichés passent les uns après les autres et nous rappellent comment sa carrière a été grande. Dans certaines images, Janet y apparaît très sexy. L’américaine a beaucoup joué cette carte durant les trois décennies passées.
Pendant les 5 minutes suivantes, ses 3 choristes prennent le relais en chantant quelques brides de ses tubes sur une musique douce. Nous reconnaîtrons notamment les morceaux "Any time any place", "Got til it's gone", "Go deep" (version Timbaland), "What's it gonna be" et "? (titre non identifié)".
Dommage que Janet Jackson n’ait pas chanté elle-même ces titres à l’Olympia mais c’est le subterfuge trouvé pour que la chanteuse de 45 ans puisse assurer autant de chorégraphies sur cette grande tournée mondiale de 68 dates.
Pendant ce nouveau medley, un premier danseur fait son apparition par le coté avant de venir au centre pour un solo de danse. Il est suivi par un autre danseur qui se livre également à une chorégraphie pendant que nous attendons le retour de la star.
Très féline avec ses extensions de cheveux, Janet revient sur scène dans une tenue simplement constituée d’un petit jeans noir et d’un marcel de la même couleur. Elle est ainsi en condition pour de nouvelles chorégraphies et reste très sexy, la femme étant en bonne condition physique ces derniers temps alors que l’on la vu très ronde à certaines périodes.
L’américaine commence ce nouvel ensemble de titres par Doesn't really matter suivi de Escapade, entourée de sa troupe, avant d’enchaîner sur Love will never do (Without you), autre titre sorti au début des années 90, et When I think of you.
Ce passage est très dansant et, sur cette succession de chansons, Janet dégage une forte sensualité, une telle féminité dans sa danse. La chanteuse enchaîne alors sur All 4 you qu’elle interprète en intégralité avant de quitter à nouveau la scène.
Plongés dans le noir, les spectateurs la réclament à coups de "Janet ! Janet !". La star revient en fait directement au milieu de la scène de l’Olympia. Très belle, Janet chante ce qui restera l’un de ses plus gros tubes That's the way love goes, morceau qui dégage une atmosphère moite et des mouvements du bassins incontrôlés de la part des spectateurs. Elle aura droit à une ovation de son public à la fin de cette chanson tant elle a maîtrisé la chorégraphie.
Après avoir déclaré "I love you Paris", Janet retourne en coulisse tandis qu’un nuage de fumée, éclairé en rose et en bleu, pendant ce nouvel interlude, se propage devant nous au son rock de la guitare.
Après que ses 3 choristes n’aient entonné une reprise du titre "What about", la star américaine fait son retour avec quelques uns de ses plus gros tubes, à commencer par le génial If, extrait de l’album "Janet.". A la fin d’une chorégraphie endiablée avec ses 6 danseurs, elle joue la carte de la provocation en simulant un acte sexuel avec son danseur et en remontant sa main de son sexe à sa langue.
L’ambiance est explosive à ce moment là mais cela se déculpe encore avec la suite : le duo avec Michael Jackson. La transition sur Scream est excellente car Janet se bouche les oreilles avant de faire de grands mouvements pour accompagner le cri. Les images en noir et blanc du clip futuriste avec son frère rendent les fans hystériques ; ceux de Janet mais aussi, voire surtout, ceux de son frère Michael. Ce fût un bref hommage à la star planétaire décédée d’un arrêt cardiaque il y a deux ans déjà et pour lequel une enquête reste ouverte.
Sans transition, elle enchaîne les chorégraphies à la perfection et l’ambiance s’électrise avec le public en liesse qui reprend en chœur les paroles de Rhythm Nation. C’est de la folie sur ce titre encore et la chorégraphie quasi-militaire est si excellente que l’Olympia complet l’ovationne à nouveau.
La salle du boulevard des Capucines est plongée dans le noir quelques minutes durant lesquelles la star est acclamée par son public parisien. Janet revient pour l’electro Make me, seul titre inédit de son best of 2009 d’ailleurs intitulé "Number ones".
C'est Together again qui est choisi pour clore ce spectacle. Cette chanson est sûrement la plus cross over de sa carrière. La foule réagit donc très bien et quelques admirateurs lui lancent quelques cadeaux qu’elle prend le soin de ramasser, ainsi qu’une casquette que l’américaine n’hésite pas à porter. Janet présente rapidement ses danseurs puis ses musiciens avant d’évoquer plus longuement le soutien de ses fans et de sa famille.
Il est 22h40 lorsque la showgirl quitte la scène après nous avoir offert un spectacle, certes trop court (1h30 sans compter les longs interludes où elle était absente), mais surtout une prestation magnifique qui mérite d’être saluée. Janet était pleine d'énergie alors que l’on pouvait craindre le contraire pour une star de retour. Elle ne nous a pas déçu comme Whitney Houston voire Britney Spears qui ne parviennent pas à revenir ou font face à des difficultés, comme la dernière vedette citée, qui continue pourtant de faire des tournées internationales.
Son public français était certes venu moins nombreux qu'auparavant mais nous étions, et ses nombreux fans aussi, très contents de la voir sur scène. Janet Jackson n'avait pas donné de concert (hormis le show caritatif et privé au Louvre le 14 juin dernier) dans notre pays depuis 1998, sa dernière tournée "Rock Witchu Tour" ayant peu fonctionné aux States (16 dates uniquement).
Sa tournée européenne de 2001 ayant été annulée par mesure de sécurité prises après les attentats du 11 septembre. Janet n’était pas revenu en concert en France depuis 1998 avec "The Velvet Rope World Tour" qui avait fait escale à Bercy, Toulon et Lyon.
Ce "Number ones : up and close personal tour" sera pour nous un beau souvenir même s’il convient plutôt de parler d’un concert que d’un gros show à l’américaine avec plein d’effets, comme elle en faisait auparavant. Nous avons aussi regretté le peu de changements de tenues de scène (seulement deux) et ses looks (un peu trop) sobres.
Nous aurions bien aimé entendre "All nite", "Go deep", "I get lonely", "Call on me" et "Got til it's gone". Peut être lors d’une prochaine tournée ?
Cette tournée entamée début février 2011 en Asie, reviendra aux Etats-Unis où elle doit se clôturer le 1er septembre à Los Angeles.
Proche de la communauté homosexuelle, Janet Jackson a représenté l'AMFAR (Fondation pour la recherche sur le sida) au "Life Ball 2011" à Vienne.
Cette diffusion prend fin. Janet Jackson est déjà assise devant ses fans pour Nothing lorsque les lumières de la salle mythique se rallument. L’américaine n’a pas profité de cette pause pour changer de tenue, elle revient encore en blanc pour une courte partie intimiste, avec trois gros lustres ajoutés au décor.
Son timbre de voix est particulier, son interprétation est nasale sur cette chanson, laquelle est d’ailleurs très jacksonnienne. "Nothing", morceau sorti en 2010, est présent sur la bande originale du film "Why did I get married too ?".
Ce medley downtempo se poursuit avec Come back to me, qu’elle chante également assise sur son tabouret, une serviette à la main. Janet se lève ensuite pour sa ballade Let's wait awhile sur laquelle ses fans reprennent les paroles. La jolie brune est visiblement émue alors qu’est lancée la mélodie de Again, une jolie ballade chantée en intégralité devant un visuel simple mais joli.
Pendant les 5 minutes suivantes, ses 3 choristes prennent le relais en chantant quelques brides de ses tubes sur une musique douce. Nous reconnaîtrons notamment les morceaux "Any time any place", "Got til it's gone", "Go deep" (version Timbaland), "What's it gonna be" et "? (titre non identifié)".
Pendant ce nouveau medley, un premier danseur fait son apparition par le coté avant de venir au centre pour un solo de danse. Il est suivi par un autre danseur qui se livre également à une chorégraphie pendant que nous attendons le retour de la star.
L’américaine commence ce nouvel ensemble de titres par Doesn't really matter suivi de Escapade, entourée de sa troupe, avant d’enchaîner sur Love will never do (Without you), autre titre sorti au début des années 90, et When I think of you.
Ce passage est très dansant et, sur cette succession de chansons, Janet dégage une forte sensualité, une telle féminité dans sa danse. La chanteuse enchaîne alors sur All 4 you qu’elle interprète en intégralité avant de quitter à nouveau la scène.
Plongés dans le noir, les spectateurs la réclament à coups de "Janet ! Janet !". La star revient en fait directement au milieu de la scène de l’Olympia. Très belle, Janet chante ce qui restera l’un de ses plus gros tubes That's the way love goes, morceau qui dégage une atmosphère moite et des mouvements du bassins incontrôlés de la part des spectateurs. Elle aura droit à une ovation de son public à la fin de cette chanson tant elle a maîtrisé la chorégraphie.
Après avoir déclaré "I love you Paris", Janet retourne en coulisse tandis qu’un nuage de fumée, éclairé en rose et en bleu, pendant ce nouvel interlude, se propage devant nous au son rock de la guitare.
Après que ses 3 choristes n’aient entonné une reprise du titre "What about", la star américaine fait son retour avec quelques uns de ses plus gros tubes, à commencer par le génial If, extrait de l’album "Janet.". A la fin d’une chorégraphie endiablée avec ses 6 danseurs, elle joue la carte de la provocation en simulant un acte sexuel avec son danseur et en remontant sa main de son sexe à sa langue.
L’ambiance est explosive à ce moment là mais cela se déculpe encore avec la suite : le duo avec Michael Jackson. La transition sur Scream est excellente car Janet se bouche les oreilles avant de faire de grands mouvements pour accompagner le cri. Les images en noir et blanc du clip futuriste avec son frère rendent les fans hystériques ; ceux de Janet mais aussi, voire surtout, ceux de son frère Michael. Ce fût un bref hommage à la star planétaire décédée d’un arrêt cardiaque il y a deux ans déjà et pour lequel une enquête reste ouverte.
La salle du boulevard des Capucines est plongée dans le noir quelques minutes durant lesquelles la star est acclamée par son public parisien. Janet revient pour l’electro Make me, seul titre inédit de son best of 2009 d’ailleurs intitulé "Number ones".
C'est Together again qui est choisi pour clore ce spectacle. Cette chanson est sûrement la plus cross over de sa carrière. La foule réagit donc très bien et quelques admirateurs lui lancent quelques cadeaux qu’elle prend le soin de ramasser, ainsi qu’une casquette que l’américaine n’hésite pas à porter. Janet présente rapidement ses danseurs puis ses musiciens avant d’évoquer plus longuement le soutien de ses fans et de sa famille.
Il est 22h40 lorsque la showgirl quitte la scène après nous avoir offert un spectacle, certes trop court (1h30 sans compter les longs interludes où elle était absente), mais surtout une prestation magnifique qui mérite d’être saluée. Janet était pleine d'énergie alors que l’on pouvait craindre le contraire pour une star de retour. Elle ne nous a pas déçu comme Whitney Houston voire Britney Spears qui ne parviennent pas à revenir ou font face à des difficultés, comme la dernière vedette citée, qui continue pourtant de faire des tournées internationales.
Son public français était certes venu moins nombreux qu'auparavant mais nous étions, et ses nombreux fans aussi, très contents de la voir sur scène. Janet Jackson n'avait pas donné de concert (hormis le show caritatif et privé au Louvre le 14 juin dernier) dans notre pays depuis 1998, sa dernière tournée "Rock Witchu Tour" ayant peu fonctionné aux States (16 dates uniquement).
Sa tournée européenne de 2001 ayant été annulée par mesure de sécurité prises après les attentats du 11 septembre. Janet n’était pas revenu en concert en France depuis 1998 avec "The Velvet Rope World Tour" qui avait fait escale à Bercy, Toulon et Lyon.
Ce "Number ones : up and close personal tour" sera pour nous un beau souvenir même s’il convient plutôt de parler d’un concert que d’un gros show à l’américaine avec plein d’effets, comme elle en faisait auparavant. Nous avons aussi regretté le peu de changements de tenues de scène (seulement deux) et ses looks (un peu trop) sobres.
Nous aurions bien aimé entendre "All nite", "Go deep", "I get lonely", "Call on me" et "Got til it's gone". Peut être lors d’une prochaine tournée ?
Cette tournée entamée début février 2011 en Asie, reviendra aux Etats-Unis où elle doit se clôturer le 1er septembre à Los Angeles.
Proche de la communauté homosexuelle, Janet Jackson a représenté l'AMFAR (Fondation pour la recherche sur le sida) au "Life Ball 2011" à Vienne.
Pour plus d'informations sur Janet Jackson :
Site officiel de Janet Jackson
Site des fans français de Michael Jackson
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