Janet Jackson est de retour sur scène avec un nouveau spectacle sobrement (!) intitulé Number ones : Up close and personal world tour. Trois ans après le "Rock witchu tour", sa dernière tournée nord américaine qui n’avait pas rencontré le succès escompté, et 10 ans après la folie du "All for you tour", la sœur de Michael retrouve ses fans en live à travers le monde entier.
Il faut dire que sa carrière décline depuis une décennie et la belle ne parvient plus à vendre autant de disques que dans les années 80 et 90. Ses derniers albums "Damita Jo" (2004), "20 Y.O." (2006) et "Discipline" (2008) ne sont pas montés très hauts dans les charts internationaux.
Jusqu’à la fin des années 90, Janet Jackson était pourtant l’une des plus grandes chanteuses internationales. Ses albums "Janet." (1993) et "The velvet rope" (1997) s’étaient arrachés à des millions d’exemplaires, portés par des tubes comme "That's the way love goes" et "Together again".
Nous sommes allés applaudir Janet Jackson à l’Olympia où la star américaine donnait deux concerts exceptionnels. 3 soirées étaient prévues, mais, après un démarrage en trombe où les places de la première date se sont arrachées en quelques minutes, la chanteuse n’est pas parvenue à écouler toutes celles du 27 juin. Les organisateurs ont préférés ne pas mettre en vente celles du 28 juin.
18h40. Les portes de l’Olympia s’ouvrent enfin pour les centaines de spectateurs qui attendent dans une rue chauffée par un soleil éclatant en ce week-end de Gay Pride. Nous prenons place dans les premiers rangs de la fosse. La scène est simplement cachée par un rideau noir avec un énorme #1's comme pour confirmer que, lors de ce Number ones : up and close personal tour, Janet Jackson va nous chanter ses plus gros tubes.
20 heures. Un dj hip hop est aux platines pour un set R’n’B plutôt old school avec du Lauryn Hill et le très bon duo de Jay Z & Alicia Keys. Il poursuit avec de bons instrus hip-hop et mixe plusieurs grands classiques. Même si nous préférons découvrir un autre chanteur(euse) en première partie, plutôt qu’un dj, il faut reconnaître que son set était très bon, subtilement funky, et, surtout, dansant sans à la fois, vouloir surexciter le public.
20h35. La voix off annonce un entracte de 20 minutes. Nous sommes invités à patienter à nouveau.
21h05, soit quelques minutes avant l'arrivée de sa sœur, Jermaine Jackson prend place dans le balcon surplombant l’Olympia. Plusieurs fans de la famille Jackson sont visiblement contents et se font entendre. Jermaine était présent les deux soirs à l’Olympia.
Le spectacle commence par la projection du clip Runaway, un single sorti en 1995 que nous aimions beaucoup à l’époque de son best of "Design of a decade 1986/1996". Dans ces belles images, Janet Jackson se ballade à travers le monde, de monument en monument.
Un problème technique gâche un peu les images, ce qui sera, hélas, le cas durant l’intégralité du concert. Nous sommes alors surpris qu’un show puisse commencer par la diffusion d’un clip. C’est pour nous du jamais vu, mais c’est une particularité de ce spectacle qui commence par un titre différent dans chaque ville traversée. Ceux sont les internautes qui ont choisi le morceau en question à partir du site internet de leur star.
Les musiciens, et les chœurs, vêtus de blancs, prennent place sur scène lors de la dernière minute de "Runaway". Le live commence alors avec de la fumée sur scène et le logo de Janet changeant de couleur. La scène n’est pleinement éclairée que lors de l’avancée de la star américaine à quelques mètres des premiers spectateurs. Janet Jackson débute son show avec The pleasure principle, un 45 tours datant de 1987. Derrière elle, le visuel jaune est futuriste et nous rappelle le film "5ème élément".
La chanteuse porte une belle tenue moulante, stylée, toute blanche, et donc différente de celle qu’elle avait au début de sa tournée mondiale où sa tenue était en latex noir, durant ce même premier morceau. Celui-ci est chaîné à Control, chanson datée également de 1987 et extraite de l’album éponyme. Ses danseurs font leur entrée en scène sur cette seconde chanson. Avec eux, Janet se livre à une chorégraphie énergique, comme le sera toute cette soirée.
Le troisième morceau est également enchaîné aux précédents. Il s’agit de What have you done for me lately, qu’elle chante entourée de ses deux danseuses au look de garçonnes.
Janet clôt ce medley avec le génial Feedback qui aurait dû lui permette de faire re-décoller sa carrière en 2007 mais celui-ci n’a pas eu le succès escompté. Il est pourtant pêchu et rend très bien en live avec une bonne chorégraphie comme celle que nous pouvons voir à l’Olympia avec toute sa troupe de danseurs, sexy dans leurs marcels noirs. C’est un moment intense de ce premier tableau où Janet lance un beau regard noir à son public après avoir crier "Parriiisss !".
Acclamée durant un long moment, Janet reste figée et regarde fièrement son public. La star profite au maximum de ce moment avant d’enchaîner sur You want this où elle s’adresse à nouveau au public avec un "want more Paris ?".
Janet Jackson est aussi entourée de sa troupe de danseurs, pour Alright le deuxième titre de ce second medley, devant un visuel rouge projeté sur le grand écran. La chorégraphie est, là encore, superbe. La troisième chanson est Miss you much, phrase qu'elle prononcera aussi lors d’un petit message adressé à son public après lui avoir lancé un baiser avec une gestuelle particulièrement jacksonienne.
Après 2 secondes de pause, le spectacle se poursuit avec son titre Nasty aux notes très 80s. Janet se transforme en bitch sur cette chanson. Elle joue avec ses danseurs n’hésitant pas à être très suggestive. C’est la partie chaude du concert avec l’utilisation d’un visuel rouge orangé. Les danseurs sont toujours vêtus en noir alors qu’ils portaient des tenues blanches lors de la seconde date parisienne du 27 juin.
L’Olympia est plongé dans l’obscurité quelques instants. Une conversation entre deux protagonistes, que l’on ne voient pas encore, s’installe. Lorsque l’image apparaît enfin, nous découvrons qu’il s’agit d’un extrait d’une série télévisée dans laquelle jouait la cadette de la famille Jackson. Elle était toute jeune à l’époque de la sitcom "Good times".
Puis, Janet est adolescente dans l’extrait d’"Arnold et Willy" diffusé ensuite. L’interlude se poursuit avec des extraits de ses films avec, pour commencer, une scène sentimentale de "Poetic Justice", et enfin plus récemment avec "Why did I get married" où elle est colérique dans le passage diffusé.
Il faut dire que sa carrière décline depuis une décennie et la belle ne parvient plus à vendre autant de disques que dans les années 80 et 90. Ses derniers albums "Damita Jo" (2004), "20 Y.O." (2006) et "Discipline" (2008) ne sont pas montés très hauts dans les charts internationaux.
Jusqu’à la fin des années 90, Janet Jackson était pourtant l’une des plus grandes chanteuses internationales. Ses albums "Janet." (1993) et "The velvet rope" (1997) s’étaient arrachés à des millions d’exemplaires, portés par des tubes comme "That's the way love goes" et "Together again".
Nous sommes allés applaudir Janet Jackson à l’Olympia où la star américaine donnait deux concerts exceptionnels. 3 soirées étaient prévues, mais, après un démarrage en trombe où les places de la première date se sont arrachées en quelques minutes, la chanteuse n’est pas parvenue à écouler toutes celles du 27 juin. Les organisateurs ont préférés ne pas mettre en vente celles du 28 juin.
20 heures. Un dj hip hop est aux platines pour un set R’n’B plutôt old school avec du Lauryn Hill et le très bon duo de Jay Z & Alicia Keys. Il poursuit avec de bons instrus hip-hop et mixe plusieurs grands classiques. Même si nous préférons découvrir un autre chanteur(euse) en première partie, plutôt qu’un dj, il faut reconnaître que son set était très bon, subtilement funky, et, surtout, dansant sans à la fois, vouloir surexciter le public.
20h35. La voix off annonce un entracte de 20 minutes. Nous sommes invités à patienter à nouveau.
21h05, soit quelques minutes avant l'arrivée de sa sœur, Jermaine Jackson prend place dans le balcon surplombant l’Olympia. Plusieurs fans de la famille Jackson sont visiblement contents et se font entendre. Jermaine était présent les deux soirs à l’Olympia.
Le spectacle commence par la projection du clip Runaway, un single sorti en 1995 que nous aimions beaucoup à l’époque de son best of "Design of a decade 1986/1996". Dans ces belles images, Janet Jackson se ballade à travers le monde, de monument en monument.
Un problème technique gâche un peu les images, ce qui sera, hélas, le cas durant l’intégralité du concert. Nous sommes alors surpris qu’un show puisse commencer par la diffusion d’un clip. C’est pour nous du jamais vu, mais c’est une particularité de ce spectacle qui commence par un titre différent dans chaque ville traversée. Ceux sont les internautes qui ont choisi le morceau en question à partir du site internet de leur star.
Les musiciens, et les chœurs, vêtus de blancs, prennent place sur scène lors de la dernière minute de "Runaway". Le live commence alors avec de la fumée sur scène et le logo de Janet changeant de couleur. La scène n’est pleinement éclairée que lors de l’avancée de la star américaine à quelques mètres des premiers spectateurs. Janet Jackson débute son show avec The pleasure principle, un 45 tours datant de 1987. Derrière elle, le visuel jaune est futuriste et nous rappelle le film "5ème élément".
Le troisième morceau est également enchaîné aux précédents. Il s’agit de What have you done for me lately, qu’elle chante entourée de ses deux danseuses au look de garçonnes.
Janet clôt ce medley avec le génial Feedback qui aurait dû lui permette de faire re-décoller sa carrière en 2007 mais celui-ci n’a pas eu le succès escompté. Il est pourtant pêchu et rend très bien en live avec une bonne chorégraphie comme celle que nous pouvons voir à l’Olympia avec toute sa troupe de danseurs, sexy dans leurs marcels noirs. C’est un moment intense de ce premier tableau où Janet lance un beau regard noir à son public après avoir crier "Parriiisss !".
Après 2 secondes de pause, le spectacle se poursuit avec son titre Nasty aux notes très 80s. Janet se transforme en bitch sur cette chanson. Elle joue avec ses danseurs n’hésitant pas à être très suggestive. C’est la partie chaude du concert avec l’utilisation d’un visuel rouge orangé. Les danseurs sont toujours vêtus en noir alors qu’ils portaient des tenues blanches lors de la seconde date parisienne du 27 juin.
L’Olympia est plongé dans l’obscurité quelques instants. Une conversation entre deux protagonistes, que l’on ne voient pas encore, s’installe. Lorsque l’image apparaît enfin, nous découvrons qu’il s’agit d’un extrait d’une série télévisée dans laquelle jouait la cadette de la famille Jackson. Elle était toute jeune à l’époque de la sitcom "Good times".
Puis, Janet est adolescente dans l’extrait d’"Arnold et Willy" diffusé ensuite. L’interlude se poursuit avec des extraits de ses films avec, pour commencer, une scène sentimentale de "Poetic Justice", et enfin plus récemment avec "Why did I get married" où elle est colérique dans le passage diffusé.
Site des fans français de Michael Jackson
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